Cette année, la version « de base » du Google Pixel 9 a deux grands frères : les Pixel 9 Pro et 9 Pro XL, que nous avons également testés. Ces derniers se démarquent par leurs caméras plus musclées, leurs écrans plus lumineux, leur recharge plus rapide ainsi que quelques fonctionnalités logicielles inédites. Mais le Pixel 9 garde heureusement les bases solides de ce que peut offrir Google en matière de smartphone haut de gamme.
Prix, date de sortie et caractéristiques du Google Pixel 9
Le premier argument du Pixel 9 est évidemment son prix : 899 € dans sa version avec 128 Go de stockage. Un tarif raisonnable pour un smartphone haut de gamme, même si l’on ne peut s’empêcher de souligner que c’est 100 € de plus que ce que Google demandait pour son Pixel 8… La version 256 Go du Pixel 9 est quant à elle proposée à 999 €. Le téléphone est déjà disponible à la vente sur le site de la marque et chez différents revendeurs en ligne.
Dans ce test du Google Pixel 9, nous ne nous appesantirons pas sur la fiche technique du produit, dont voici un résumé dans le tableau ci-dessous.
Caractéristiques Google Pixel 9 Google Pixel 9 Pro Google Pixel 9 Pro XL Prix À partir de 899 € À partir de 1099 € À partir de 1199 € CPU Google Tensor G4 Google Tensor G4 Google Tensor G4 Co-CPU Titan M2 Titan M2 Titan M2 RAM 12 Go 16 Go 16 Go Stockage 128 / 256 Go 128 / 256 / 512 Go 128 / 256 / 512 Go / 1 To Ecran OLED 6.3 pouces, 1080 x 2424 pixels, taux de rafraîchissement de 60 à 120 Hz, luminosité max 2700 cd/m2, protection Gorilla Glass Victus 2. OLED LTPO 6.3 pouces, 1280 x 2856 pixels, taux de rafraîchissement de 1 à 120 Hz, luminosité max 3000 cd/m2, protection Gorilla Glass Victus 2. OLED LTPO 6.8 pouces, 1344 x 2992 pixels, taux de rafraîchissement de 1 à 120 Hz, luminosité max 3000 cd/m2, protection Gorilla Glass Victus 2. Caméra arrière Grand-angle 50 Mpx, f/1.68, capteur 1/1,31 pouce.
Ultra-grand-angle 48 Mpx (+ macro), f/1.7, capteur 1/2,55 pouce.
Stabilisation optique (OIS) sur tous les objectifs.
Vidéo 4K à 60 i/s.Grand-angle 50 Mpx, f/1.68, capteur 1/1,31 pouce.
Ultra-grand-angle 48 Mpx (+ macro), f/1.7, capteur 1/2,55 pouce.
Téléobjectif x5 de 48 Mpx, f/2.8, capteur 1/2,55 pouce.
Stabilisation optique (OIS) sur tous les objectifs.
Vidéo 4K à 60 i/s.Grand-angle 50 Mpx, f/1.68, capteur 1/1,31 pouce.
Ultra-grand-angle 48 Mpx (+ macro), f/1.7, capteur 1/2,55 pouce.
Téléobjectif x5 de 48 Mpx, f/2.8, capteur 1/2,55 pouce.
Stabilisation optique (OIS) sur tous les objectifs.
Vidéo 4K à 60 i/s." Caméra avant 10,5 Mpx, f/2.2 42 Mpx, f/2.2 42 Mpx, f/2.2 Connectivité 5G, Wi-Fi 7, Bluetooth 5.3, NFC 5G, Wi-Fi 7, Bluetooth 5.3, NFC 5G, Wi-Fi 7, Bluetooth 5.3, NFC Dimensions 152,8 x 72,0 x 8,5 152,8 x 72,0 x 8,5 162,8 x 76,6 x 8,5 Poids (g) 198 199 221 Batterie (mAh) 4700 4700 5 060 Charge 27W filaire, 12W sans fil (Qi) et sans fil inversée 27W filaire, 12W sans fil (Qi) et sans fil inversée 37W filaire, 12W sans fil (Qi) et sans fil inversée Mises à jour 7 ans de mises à jour de l'OS et de sécurité 7 ans de mises à jour de l'OS et de sécurité 7 ans de mises à jour de l'OS et de sécurité
Une qualité de fabrication irréprochable
Commençons par les dimensions du smartphone. Un peu plus haut (+2,3 mm) et plus large (+1,2 mm) que le Pixel 8, le Pixel 9 est aussi plus fin (-0,4 mm). Un format qui reste compact et agréable à utiliser avec une seule main. Attention cependant, le dos en verre à la fâcheuse tendance à glisser, aussi bien entre les doigts que sur certaines surfaces.
Année après année, Google n’a cessé d’améliorer la qualité de fabrication de ses smartphones, avec succès, mais sans forcément atteindre ce dont sont capables Samsung et Apple sur le haut de gamme. Avec le Pixel 9, cet écart semble désormais comblé. Le choix des bordures plates en aluminium, comme chez ses concurrents, ainsi que les bordures homogènes autour de l’écran, n’y est pas pour rien. Sur ce dernier point, un vrai effort a été fait de la part de Google, participant à l’esthétique du nouveau design.
Cliquez pour agrandir. – © Gabriel Manceau / 01net
Mais le Google Pixel 9 n’en oublie pas pour autant son originalité. Le dos en verre brillant (dont la version blanche que nous avons testée ne marque pas les traces de doigts), ne passe pas inaperçu. Au-delà du logo Google qui trône au centre, c’est le nouveau bloc caméra qui attire l’œil. Il prend la forme d’une pilule et occupe toute la largeur de l’appareil. On y retrouve les deux modules caméras, un micro, ainsi que le flash LED. Le bloc caméra est protubérant et ressort toujours autant du téléphone. Cependant, son positionnement horizontal fait que le Pixel 9 reste stable, même lorsqu’il est utilisé à plat.
Le nouveau design du Pixel 9 ainsi que sa batterie plus conséquente se traduit néanmoins par un poids à la hausse : 198 g, contre 187 g pour le Pixel 9, 171 g pour l’iPhone 15 et 167 g pour le Galaxy S24. À notre humble avis, Google rentre enfin dans la cour des grands en matière de finitions et de qualité de fabrication.
Un écran beaucoup plus lumineux
Après le design, le changement le plus notable est sans doute la luminosité de l’écran. La dalle du Pixel 9 est beaucoup plus lumineuse que celle du Pixel 8. On passe en effet d’un pic de luminosité de 2000 cd/m2 à 2700 cd/m2. Loin d’être anecdotique, cela rend l’écran encore plus lisible en extérieur, et rend les couleurs de l’écran OLED encore plus flatteuses.
Pour le reste, l’écran est comparable à celui du Pixel 8, avec une diagonale légèrement plus grande et une définition de 2424 × 1080 pixels. Le nouveau modèle profite cependant d’une protection Gorilla Glass Victus 2. Autre petit détail qui n’en est pas un : l’uniformité des bordures noires autour de l’écran.
Notre seul regret concerne le taux de rafraichissement de la dalle, qui ne profite pas de la technologie LTPO. Certes, il peut monter jusqu’à 120 Hz, mais ne descendra jamais en dessous des 60 Hz. La conséquence directe est qu’il consomme plus d’énergie qu’avec une dalle LTPO, qui peut descendre jusqu’à 1 Hz lors de l’affichage d’éléments statiques, comme une image par exemple. Sur ce point précis, cela reste mieux que l’iPhone 15, mais moins bien que le Samsung Galaxy S24.
Performances : que vaut la puce Tensor G4 ?
De l’aveu même de Google, les Pixel 9 et leur puce Tensor G4 ne sont pas conçus pour battre des records dans les benchmarks. L’entreprise préfère concevoir ses puces pour qu’elles répondent au mieux aux fonctionnalités proposées aux utilisateurs. Comprenez par là une batterie de fonctionnalités qui utilisent le système sur puce (SoC) Tensor G4 qui est composé d’un CPU, d’un GPU et surtout d’un NPU. Le petit dernier est dédié aux tâches liées à l’intelligence artificielle, dont certaines tournent directement sur l’appareil.
Pour accompagner la puce de Google, le Pixel 9 est équipé de 12 Go de RAM, contre 8 Go pour le Pixel 8. Une hausse qui ne doit rien au hasard : l’IA est gourmande en mémoire vive. Évidemment, cela sert également le smartphone dans ses activités quotidiennes. Ainsi, le Pixel 9 tourne comme une horloge suisse, quelle que soit la manière dont vous le sollicitez.
Dans les benchmarks, le Tensor G4 du Pixel 9 fait à peine mieux que le Tensor G3 du Pixel 8, et se laisse même distancer par l’Exynos 2400 de Samsung. Quant à l’iPhone 15 et sa puce A16 Bionic, il y a clairement une classe d’écart.
Pour le pousser un peu dans ses retranchements, nous avons joué à Fortnite Mobile en réglant les paramètres graphiques sur « Épique » et le rafraichissement de l’image à 60 i/s. Après trente minutes de jeux sans rencontrer aucun ralentissement, le haut du smartphone chauffe légèrement, sans jamais gêner la prise en main. Le Pixel 9 n’est peut-être pas un monstre de puissance, mais offre des performances solides.
Autonomie et charge : correcte, sans plus
Cela ne vous a pas échappé, le Google Pixel 9 a une batterie plus grande que celle de son prédécesseur. Une hausse nécessaire compte tenu de son écran légèrement plus grand, mais surtout beaucoup plus lumineux. Ajoutez à cela le fait que le taux de rafraichissement de l’écran ne puisse toujours pas descendre sous les 60 Hz (mais il monte jusqu’à 120 Hz), et vous avez un cocktail quelque peu énergivore.
Capacité de la batterie : le Google Pixel 9 face à la concurrence
Google promet « 24+ heures d’autonomie ». Dans les faits, le contrat est rempli. Nous avons réussi à assurer une autonomie d’une journée en moyenne, mais pas beaucoup plus. Les rares fois où nous aurions pu attendre la journée et demie, nous n’étions pas assez confiants pour nous éloigner du chargeur.
Face à la concurrence, notre 01Lab indique 30 minutes supplémentaires d’autonomie par rapport à la génération précédente, et des résultats au coude à coude avec ceux de l’iPhone 15. Le Galaxy S24 se montre en revanche plus endurant.
Concernant la charge « rapide », notre avis est assez tranché : elle ne l’est pas. Toujours bloqué à une vitesse maximum de 27W (en filaire), comptez 1h40 pour une recharge complète. C’est vingt minutes de plus que pour le Pixel 8, un comble.
Interface : pauvre France
Le Pixel 9 tourne sous Android 14 avec l’interface « Pixel ». Google n’a donc pas été en mesure de proposer Android 15 dès la sortie de ses téléphones. C’est une des conséquences du lancement anticipé des Pixel 9 cette année. En effet, ils ont été présentés en août et non en octobre comme la marque nous y avait habitués. Android 15 arrivera bien avant la fin de l’année et les Pixel 9 seront les premiers à en profiter, mais il faudra encore se montrer patient.
Du côté des fonctionnalités, on retrouve évidemment celles qui sont dopées à l’intelligence artificielle et qui ont fait le succès des Pixel 8. On citera par exemple « meilleure prise », « anti-flou » ou encore la « gomme magique audio ». Si vous ne voyez pas de quoi nous parlons, nous invitons à lire notre test du Google Pixel 8.
Quoi de neuf sur les Pixel 9 ?
Beaucoup de choses, du moins sur le papier. En effet, Google a centré sa conférence de présentation sur les fonctionnalités de ses nouveaux smartphones. Commençons par citer celles qui sont réservées aux Pixel 9 Pro et 9 Pro XL, et que vous ne retrouverez donc pas, du moins au lancement, sur le Pixel 9 : le zoom super résolution (Super Res Zoom), les vidéos 8K, le zoom amélioré, le capteur de température corporelle et le « Video Boost ».
Heureusement, il reste au Pixel 9 l’application Pixel Screenshots, qui regroupe vos captures d’écran pour y rechercher des informations grâce à l’IA, l’application Pixel Studio, qui permet de générer des images à l’aide de prompts, ou encore les appels SOS par satellite. Oui, mais non, ces fonctionnalités ne sont pas disponibles en France… Mince alors, mais que reste-t-il aux pauvres utilisateurs français de Pixel 9 que nous sommes ? Roulement de tambour… le capteur d’empreintes digitales à ultrasons ! Oui, il fonctionne bien, merci. La nouvelle application météo est également réussie, mais ne nous fera pas oublier les autres applications.
L’un des derniers combattants debout est heureusement une des fonctionnalités les plus intéressantes de l’appareil photo, le mode « M’ajouter ». Le principe est simple : vous prenez une photo de groupe dans laquelle vous souhaitez aussi apparaitre. Veillez à laisser un espace sur la photo, où vous allez pouvoir vous insérer dans un second temps.
Demandez ensuite à quelqu’un de vous prendre en photo dans le même cadre, sans que les personnes de la première photo aient besoin d’être présentes. Une fois cadrée, prenez la deuxième photo. Le smartphone se charge alors de fusionner les deux, donnant l’impression que vous êtes là depuis le début. Le résultat est très convaincant, même si l’on peut trouver quelques ratés sur le montage avec des bras et jambes parfois mal intégrés. Si vous vous posez la question : oui, vous pouvez prendre deux photos de vous pour vous créer un clone.
Un mot également sur l’outil de retouche magique qui gagne une fonctionnalité d’édition à l’aide de « prompts ». Sélectionnez un élément de l’image, écrivez ce que vous voulez créer, et le smartphone se chargera du reste. Il est possible d’obtenir des résultats assez convaincants en peu de temps. L’image ci-dessous a été générée en sélectionnant simplement la route et le ciel, et en demandant de la changer en rivière et en ciel étoilé. Évidemment, la facilité d’utilisation d’une telle fonctionnalité peut entrainer des dérives et de la désinformation en créant des scènes qui n’ont jamais existé. Google semble avoir mis quelques garde-fous, comme l’impossibilité de modifier des visages avec la retouche magique.
La retouche magique est très (trop ?) simple à utiliser. – © 01net.com
Un mot sur la fonctionnalité de cadrage automatique qui permet de tester plusieurs compositions en fonction du contenu de vos photos. Cela passe généralement par un recadrage (plus serré ou plus large) avec un remplissage généré par l’IA sur les parties ajoutées. Une option sympathique à tester, mais qui sera probablement vite oubliée.
Si vous souhaitez tester Gemini Live, le nouveau modèle de langage conversationnel plus nature de Google, il faut avoir un abonnement « Gemini Advanced » à 21,99 €/mois, qui comprend également 2 To d’espace de stockage sur Google One. Gemini Live n’est pour l’heure pas disponible en français, il faudra donc le faire dans la langue de Shakespeare, si vous réussissez à l’activer (ce qui n’a pas été notre cas). Pour ce qui est de l’application Gemini classique, elle reste téléchargeable sur tous les smartphones Android.
Photo : diablement efficace
Toujours aussi simple et intuitive, l’application photo du Google Pixel 9 est un plaisir à utiliser. Mais penchons-nous plutôt sur la « nouvelle » configuration de bloc caméra :
- Grand-angle 50 Mpx, f/1.68, capteur 1/1,31 pouce, OIS ;
- Ultra-grand-angle 48 Mpx (+ macro), f/1.7, capteur 1/2,55 pouce, OIS ;
- Caméra selfie de 10,5 Mpx, f/2.2
Le module principal (grand-angle) est le même que sur le Pixel 8 (50 Mpx), mais l’ultra-grand-angle passe quant à lui de 12 Mpx à 48 Mpx. Un changement à nuancer dans la mesure où les photos sont toujours capturées par défaut en 12 Mpx. La méthode du « Pixel Binning » est ici utilisée pour capturer plus de lumière et améliorer le rendu des clichés. La caméra avant est quant à elle inchangée par rapport au Pixel 8.
Grand-angle
L’année dernière, nous avions loué les prouesses photographiques du Pixel 8, nous ne sommes donc pas surpris de retrouver un Pixel 9 tout aussi capable, avec des photos qui font mouche.
Google n’a jamais été du côté « naturel » de la photographie, préférant accentuer les contrastes, les détails et les couleurs. Le résultat, faute d’être réaliste, est très flatteur pour la rétine.
La balance des blancs est impeccable et la dynamique est excellente pour ne pas délaisser les détails dans les zones d’ombres, même lorsque la luminosité de la scène est importante.
Photos grand-angle. Cliquez pour agrandir. – © 01net
Ultra-grand-angle
Même tarif pour l’ultra-grand-angle de 48 Mpx, qui ne gagne pas tant en précisions (les photos sont toujours en 12 Mpx), mais plutôt en exposition, offrant ainsi une très bonne continuité de la qualité perçue par rapport au module caméra principal.
Inévitable, la légère déformation dans les angles est cependant très bien gérée, bien que les détails soient moins nombreux dans les angles de l’image.
Photos ultra-grand-angle. Cliquez pour agrandir. – © 01net
Le mode panorama est très réussi. Ce mode photo vous guide parfaitement, aussi bien sur la ligne d’horizon à respecter que sur différents « points » sur lesquels vous arrêter pour que le logiciel puisse ensuite mouliner toutes les images afin de parvenir au résultat suivant. À éviter dans les espaces trop exiguës où le résultat est moins convaincant.
Zoom
Photo avec zoom x2 à gauche et zoom x5 à droite. – © 01net
Le Google Pixel 9 n’a pas de téléobjectif. Il faut donc se contenter du zoom numérique. Le zoom x2, qui offre un équivalent 50 mm, parvient à conserver un bon niveau de détails. Jusqu’à x5, cela reste largement exploitable, au-delà, la qualité chute rapidement. En revanche, pas de tour de passe-passe sur le Pixel 9 pour améliorer la résolution, le « Super Res Zoom » étant réservé aux smartphones « Pro » de chez Google.
Photo avec zoom x2 à gauche et zoom x5 à droite. – © 01net
Portraits et selfies
Bien qu’imparfait dans sa manière de détourer, le mode portrait parvient à restituer beaucoup de détails. Le tout est mis en valeur par un flou d’arrière-plan logiciel bien calibré.
Les puristes noteront que l’effet bokeh n’est pas aussi naturel qu’avec un appareil photo réflex ou hybride, mais force est de constater que pour un smartphone que l’on a dans la poche, le résultat est déjà très convaincant.
Contrairement aux Pixel 9 et 9 Pro qui profitent d’un nouveau module caméra avant de 48 Mpx, celui du Pixel 9 reste bloqué à 10,5 Mpx. Nous n’aurions pas dit non à un peu plus de détails, mais le résultat est tout de même satisfaisant, avec notamment une teinte de peau naturelle, sans trop lisser le visage comme peuvent le faire certaines marques de smartphones.
Selfie sans mode portrait à gauche, avec à droite. – © 01net
Nuit
Le Google Pixel 9 est toujours une vraie chauve-souris, en grande partie grâce à son mode « Vision de nuit » qui permet, en échange d’un temps d’exposition plus long, d’apporter beaucoup plus de luminosité à la scène.
Photo grand-angle sans mode nuit à gauche, avec à droite. – © 01net
Année après année, on note les efforts de Google pour offrir un rendu plus réaliste dans ce mode de prise de vue. Nous n’avons désormais plus l’impression de voir la nuit comme en plein jour, mais bien d’observer une scène nocturne mieux exposée.
Photo ultra-grand-angle sans mode nuit à gauche, avec à droite. – © 01net
Le mode « Vision de nuit » permet également de corriger la balance des blancs qui fait parfois des siennes, surtout sur les photos de nuit prises avec le module ultra-grand-angle. Le résultat est, là encore, très convaincant.
Photo en zoom x2 sans mode nuit à gauche, avec à droite. – © 01net
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