Accéder à son agenda où que l’on soit, en ligne. En créer une version à partager pour, par exemple, son association. Recevoir des alertes par e-mail ou par SMS. En lançant son propre calendrier en ligne, Google ajoute à sa panoplie des
fonctionnalités dont disposaient déjà des sociétés comme Yahoo!, mais y ajoute sa touche, celle d’un spécialiste de la recherche.Il est nécessaire d’ouvrir un compte de messagerie Gmail pour utiliser Google Calendar. Quelques cases à remplir et on accède à un agenda à l’interface plutôt classique. Il suffit de cliquer sur une date pour y ajouter un événement. Le
calendrier peut s’afficher sur une journée, une semaine, un mois ou, plus original, sur quatre jours. Il permet aussi bien d’envoyer des invitations et d’intégrer automatiquement les réponses, que de recevoir par SMS (aux Etats-Unis uniquement, avec
facturation selon l’opérateur) ou par e-mail des alertes rappelant une réunion ou un dîner.
Version bêta… et peu propice à la langue française
Google Calendar dispose aussi d’une fonction de recherche. Mais la grande innovation se trouve plutôt du côté de la reconnaissance automatique de la date. Ainsi, pour planifier un déjeuner avec Mitch à 13 heures le 26 juin,
avec Google Calendar, il n’est pas nécessaire d’ouvrir une fiche spécifique ou d’aller chercher la date dans l’agenda. La fonction Quick add (ajout rapide), accessible depuis la page d’accueil de son calendrier, suffit.Elle ouvre alors une petite barre dans laquelle il faut taper un texte. Par exemple, ‘ déjeuner avec Mitch à 13 heures le 26 juin ‘. En théorie, Google Calendar inscrira alors
automatiquement le rendez-vous, à la bonne date et à la bonne heure. Le principe a été étendu à la messagerie Gmail. Si l’invitation de Mitch est envoyée par e-mail à un utilisateur de cette messagerie, celui-ci verra s’afficher une mention
Add to calendar dans la colonne de droite. Cliquer dessus permettra d’ajouter ce rendez-vous à son agenda.Comme souvent chez Google, le service n’est disponible qu’en bêta. Pour les francophones, ce calendrier tient en effet surtout du test et demande un peu dentraînement. En effet, Google Calendar peut inscrire automatiquement un
rendez-vous à ‘ 13h ‘, pas à ‘ 13 heures ‘. Quant au mois de juin, mieux vaut utiliser son équivalent anglophone de june pour ne pas manquer votre déjeuner avec
Mitch.
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