Depuis 2008, chaque année, Greenpeace publie son Cool IT Leaderboard, un classement des plus grosses entreprises high-tech les plus vertes. Ce classement se fait en fonction de trois critères :
En 2011, Google arrive premier du classement avec une note atteignant « seulement » 53 %. Il était quatrième en 2010 avec 47 % et sixième en 2009 avec 33 %. Il détrône Cisco, vainqueur lors des deux années précédentes, qui retrogradee à la deuxième place en passant de 70 % à 49 %.
Pour autant, si la progression de Google est réelle dans tous les domaines, et surtout dans le domaine de l’impact énergétique, grâce à l’ouverture de data centers écologiques, cette première place est essentiellement due à la baisse de ces concurrents. Une chute dans le classement liée à la baisse des notes pour la partie Political Advocacy. Autrement dit, les grands de la IT font moins de lobby pour promouvoir une politique ou des engagements écologiques. La faute donc à une pondération qui donne quasiment autant de poids aux solutions qu’aux encouragements futurs. Un aspect qui se défend si l’on pense que l’avenir se prépare par la communication et l’évangélisation des acteurs de toutes tailles.
Classement 2012 du rapport Cool IT de Greenpeace
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