GénériX vend traditionnellement son PGI e-Gx aux entreprises qui réalisent entre 4 et 5 milliards de chiffre d’affaires par an, aux grands comptes en somme. “Nous constatons que les entités de plus petite taille sont intéressées par les applications de gestion comptable et logistique, sans pour autant avoir les moyens de les acquérir “, remarque Frédéric Lefebvre, directeur du département solutions PME chez GénériX. En lançant GénériX Pack, l’éditeur tente donc de résoudre cette problématique, en pro- posant aux PME qui réalisent entre 100 millions et 1 milliard de francs de chiffre d’affaires, un PGI préparamétré vendu sur le mode du forfait. À cet égard, GénériX s’engage sur les délais et les tarifs : déployer la solution en 80 jours, pour un coût global situé entre 91469 et 152449 ? ht (600 000 et 1 million de francs). Un délai qui correspond à la phase d’audit des besoins de l’entreprise, à la modélisation de ses flux et au paramétrage de la solution. Les fonctions de ce PGI sont des plus classiques : gestion de la comptabilité, des achats, des ventes, de la logistique, de la fabrication et des stocks. Revers de la médaille : la formule qui cible les secteurs du commerce et de la distribution, dont les flux logistiques sont relativement simples, restreint le nombre des fonctions fournies. Ainsi, GénériX Pack ne gère que 200 règles métier, contre 1 200 pour le produit haut de gamme. Évolutif, il laisse toutefois la possibilité au client de se procurer des modules optionnels (service après-vente, export, affaires, etc.), proposés avec e-GX.
Une offre pour les TPE aussi
Mais l’éditeur ne s’arrête pas en si bon chemin. Il finalise ainsi son offre GénériX Alpha destinée cette fois aux TPE réalisant un chiffre d’affaires compris entre 20 et 120 millions de francs par an. La version allégée de GénériX Pack, attendue pour janvier, va encore plus loin dans la simplification puisqu’elle évite le travail d’audit préalable et opte pour un paramétrage par l’intermédiaire d’assistants. En contrepartie, c’est l’entreprise qui doit, dans ce cas, adapter ses flux logistiques et ses méthodes de prise de commande au mode opératoire du logiciel, et non l’inverse.
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