On aime… les qualités d’image
Le HDC-SD200 rafle les meilleures notes en termes de précision des images et de sensibilité en basse lumière en mode vidéo (respectivement 8 et 8,6). Sur les plans fixes ou lors des tests de mire, l’image affiche effectivement beaucoup de détails. Dommage que le respect des couleurs ne soit pas aussi satisfaisant qu’on aurait pu l’espérer.
On aime… l’écran LCD tactile
2,7 pouces de diagonale, c’est une dimension assez confortable pour un écran LCD de caméscope. Et ceux des quatre modèles de cette première catégorie sont très comparables. Celui du HDC-SD200 se distingue des autres puisque c’est le seul du banc d’essai (avec le modèle de Samsung) à être tactile. A noter que les niveaux de couleur et de luminosité de cet écran sont réglables via les menus.
On aime… le chargeur indépendant
1 heure 56 minutes d’autonomie, c’est un peu juste pour un caméscope. Et cela obligera à faire l’acquisition d’une seconde batterie. La bonne surprise, c’est que l’adaptateur secteur du constructeur fait office de chargeur indépendant. Ainsi, pendant que vous filmez avec la première batterie, vous pourrez mettre la seconde à charger.
On n’aime pas… le prix
Certes, ce caméscope obtient la deuxième meilleure note en termes de qualité de prises de vues. Il est aussi sur la première marche du podium en ce qui concerne le confort d’utilisation. Mais ces qualités ont un prix : à près de 1 000 euros, il s’affiche deux fois plus cher que le modèle Samsung, qui se place à la deuxième place.
On n’aime pas… l’absence de torche
Avec un prix aussi élevé, on aurait pu espérer qu’il soit équipé d’une torche pour les prises de vues nocturnes ou en basse lumière (ou pour éclairer un visage de nuit à quelques dizaines de centimètres). Pourtant, Panasonic n’a pas jugé utile de l’en équiper. Dommage !