Créée en fin 1999, la société de Bourse Fortuneo voulait démarrer son activité et ouvrir son site internet dès la date du 1er avril 2000. Dans ce laps de temps, la société devait s’équiper d’une solution de gestion. Les délais ont été respectés. Le système devait comprendre les fonctions de tenue de compte, de négociation, et être capable de communiquer avec les applicatifs boursiers de la gamme Investiciel de Sema Group.
Un logiciel choisi pour sa richesse et sa capacité
“Nous cherchions un logiciel comptable qui soit aussi un outil de gestion des opérations, apte à répondre à des besoins complexes et à la réglementation exigeante du secteur boursier, explique Laurence Martinez, directrice financière de Fortuneo. De plus, nous voulions une solution qui nous permette de subvenir aux besoins et à l’évolution de la société durant au moins trois ans, voire cinq ans.” A partir de l’appel d’offres, il restait moins de deux mois à consacrer à la recherche du logiciel, à son paramétrage et à son déploiement. Pour gagner du temps, Fortuneo se fait aider par des consultants dans la mise en forme du cahier des charges, la présélection et le dépouillement des réponses. “Ils nous ont également assistés dans les contacts avec les fournisseurs pour apprécier les fonctions des progiciels et évaluer leur qualité”, poursuit Laurence Martinez.Le logiciel Harmonie Entreprise, de CFI Informatique, est choisi pour sa richesse fonctionnelle, sa capacité à gérer des flux et des stockages de données de plus en plus importants. En outre, le logiciel étant bien adapté à l’activité de la société, le paramétrage est rapide. “L’outil Harmonie associe, au sein d’un même produit, de nombreuses fonctions standards de comptabilité (élaboration d’un grand livre, d’une balance, etc. ) et de larges possibilités de paramétrage”, commente la directrice financière.Dans le choix de l’outil, Fortuneo a surtout attaché de l’importance à la souplesse du paramétrage. En effet l’application devait accompagner la croissance exponentielle de la start up. “Nous ne voulions ni figer complètement la manière dont les données sont structurées, ni faire une application jetable”, souligne Laurence Martinez. “Par ailleurs, ce progiciel étant assez répandu dans les sociétés de Bourse, nous étions certains qu’il pourrait fonctionner assez rapidement.” En fait, si tout s’est bien passé, c’est que Fortuneo avait mis les atouts de son côté : “D’abord, nous avions une claire maîtrise du sujet en interne, et nous savions où nous voulions aller. Ensuite, nous avons eu une personne de CFI à notre disposition, à plein temps, jusqu’au démarrage de l’outil. Enfin, nous avons pu nous contenter de formations rapides, car nous partions d’une base connue.”
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