Parallèlement au codage des caractères eux-mêmes, des efforts ont porté sur l’enrichissement et l’environnement des textes à représenter. Des éditeurs de logiciels ont proposé leur codage d’enrichissement propre. Les plus diffusés se sont imposés comme standards de fait.Ainsi, le format RTF (Rich Text Format), de Microsoft, est le plus souvent pris en charge par des logiciels autres que ceux de Microsoft. Il permet de coder la plupart des enrichissements d’un traitement de texte (gras, italique, souligné, police de caractères utilisée, exposant, indice, etc.). Mais d’autres formats du même type existent également, par exemple le format MIF, de FrameMaker.Par ailleurs, on a cherché à codifier la mise en page d’un texte, et en marge de ” l’invention ” du HTML, spécifiquement adapté à la mise en page sur le Web, Adobe, riche du développement du langage de mise en page pour imprimante PostScript, sest incontestablement imposé dans ce rôle avec son format PDF.
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