Destiné aux grands comptes comme aux PME disposant d’au moins 500 postes de travail, FlowMind 2.2 établit des procédures de travail collaboratif dans un cadre intra ou interentreprises. Entièrement écrit en Java, FlowMind repose, pour fonctionner, sur trois modules différents.
Accélérer la circulation de l’information
Le premier module, Designer, s’adresse plus particulièrement aux développeurs. C’est une applet Java graphique servant à modéliser les processus fonctionnels de l’entreprise. Ces mécanismes sont ensuite encapsulés sous forme de JavaBeans contenant les méthodes de mise en ?”uvre. Pour accomplir une action précise du workflow (par exemple, remplir une note de frais), un formulaire HTML est associé aux JavaBeans.Le Processor, deuxième module, est le moteur de workflow proprement dit, et intervient pour exécuter les JavaBeans. Principal avantage du système : les méthodes ne sont plus stockées dans une base de données et chargées en mémoire à chaque requête d’un utilisateur. Elles sont chargées en mémoire, une fois pour toutes, au démarrage du serveur, ce qui accélère la vitesse de circulation de l’information.En aval, le moteur communique avec le troisième module, FlowBox, un servlet placé sur un serveur HTTP et regroupant, sous forme graphique, toutes les tâches à accomplir par l’utilisateur. L’interface du module, analogue à celle d’un logiciel de messagerie classique, est, selon l’éditeur, suffisamment explicite pour être utilisée sans avoir besoin d’une formation poussée.
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