Le réseau social Facebook est souvent diabolisé comme une espèce de Big Brother collectif où tout le monde épie tout le monde, où les services secrets et agents de renseignements des entreprises viennent piocher des infos confidentielles sur un candidat à un poste, où le fait d’avoir publié une photo de soi en caleçon de bain avec un verre à la main peut jeter le discrédit jusqu’à la fin des temps.Faut pas pousser… Certes, en déballant sa vie intime et ses convictions personnelles de façon ostentatoire, on prend des risques. Mais personne n’y est obligé : Facebook ne prend que ce que les membres lui fournissent. Le vrai risque n’est pas Facebook en tant que tel, mais la façon de l’utiliser : un membre “ balance ” des commentaires pas sympas ou mensongers sur un autre membre. Dans la vraie vie, ça existe aussi malheureusement. On peut aussi voir Facebook sous un jour différent, tout simplement pour tisser des réseaux de connaissances, les fameux “ amis ”. Comme une sorte de gigantesque boîte à contacts. Je viens de retrouver un copain de fac que je n’avais pas vu depuis des lustres.On va papoter ? Peut-être que oui, peut-être que non, peu importe. S’il a besoin d’un coup de main et réciproquement, je sais désormais où le trouver et lui aussi.
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