Ce qu’il y a de bien avec les jeux sortis des studios Monolith (Alien vs Predator 2, No one lives forever 1 et 2…), c’est qu’on sait toujours à quoi s’attendre : une ambiance parfaite, une
action intense mêlée de progression à pas feutrés pour ne pas se faire repérer, un scénario sans faille, complété d’une réalisation convaincante, à défaut d’être irréprochable. Sous ses allures de Max Payne mâtiné de Resident Evil, F.E.A.R.
(First Encounter Assault Recon) s’inscrit exactement dans cette lignée.Que du bon, donc, même si l’on regrette ces (trop) longs passages sans ennemis, qui soutiennent certes le suspense mais brisent aussi le rythme, et un gros manque d’imagination dans la conception des niveaux.
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