Avant d’ajouter : “L’approche d’Internet qui consiste à singer l’exemple américain dans le seul but d’avoir des bannières commerciales a vécu.”
Faisant jouer à Europstat un rôle d’incubateur de projets, Laurent Piepszwonik compte sur trois sources de revenus pour Sportofm.com : la publicité, le commerce électronique (équipements, réservation de places…) et des services spécifiques payants (enregistrement d’émission et push d’informations vers des téléphones portables ou des assistants personnels numériques).
Plusieurs initiatives ont été lancées autour de ce projet comme une chaîne de télé sportive sur le câble ou le satellite. Un accord a aussi été passé avec un constructeur de magnétoscopes pour la conception d’une puce intelligente destinée à l’enregistrement de programmes à distance.
Europstat, qui réalisera cette année un chiffre d’affaires de 275 millions de francs environ, compte rester l’actionnaire majoritaire de Sportofm mais prévoit une levée de fonds ainsi qu’une introduction en Bourse partielle.
“Sportofm natteindra pas l’équilibre avant fin 2000 “, précise Laurent Piepszownik. Par la suite, au moins trois autres projets de sites portails sont envisagés, mais Europstat se refuse pour l’instant à en dire plus.
La transaction, dont le montant n’a pas été révélé, doit encore obtenir l’aval du CSA.
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