MasterCard, FT et HP rejoignent Liberty Alliance
Liberty Alliance, un groupement d’entreprises pour la sécurité des transactions sur Internet, annonce l’arrivée dans ses rangs de MasterCard International, de France Télécom et de Hewlett-Packard. Ces nouvelles recrues, qui suivent Americain Express et AOL, renforcent la crédibilité de l’alliance lancée par Sun.Liberty Alliance, qui vise à établir une norme commune de sécurisation des transactions sur Internet, se présente comme une alternative à la technologie Passport de Microsoft. Les premières solutions issues des normes de l’alliance devraient entrer en production en 2003.
Nouvelle baisse des ventes de serveurs
Pour le troisième trimestre consécutif, les ventes de serveurs ont baissé en Europe de l’Ouest, selon le cabinet d’études Gartner. Ainsi, les livraisons de serveurs ont baissé de 7 % au troisième trimestre par rapport à la même période de l’année précédente. Environ 248 000 unités ont été vendues, générant un chiffre d’affaires total de 3,26 milliards de dollars, en baisse lui aussi de 26 % par rapport au troisième trimestre de l’année précédente.Les ventes de Sun chutent de 48 %, celles d’IBM de 10 % et celles de Compaq de 5 %. Par contre, Dell enregistre une hausse de 25 % de ses ventes serveurs.
Xerox PARC invente les pages Web collaboratives
Le Xerox PARC annonce la version bêta de Sparrow Web, un éditeur de pages Web collaboratives. Ecrit en Java, ce programme permet d’autoriser un groupe d’utilisateurs à modifier le contenu d’une page Web, même s’ils n’ont pas de formation HTML.Pour simplifier, un webmaster développe la page Web de départ et indique, à l’aide d’une icône noire en forme de triangle, les parties de cette page qui peuvent être modifiées par l’ensemble des collaborateurs. En cliquant sur l’icône, ceux-ci peuvent insérer textes, images et tableaux, qui seront automatiquement traduits en HTML. Sparrow Web est téléchargeable.
Iomega se sépare de 10 % de ses effectifs
Le constructeur d’équipements de stockage amovibles annonce le licenciement de 80 de ses employés, soit 10 % de ses équipes américaines et canadiennes. Iomega, confrontée à une sévère érosion de ses ventes, avait annoncé en août une réduction à terme de 35 % de ses effectifs.Le chiffre d’affaires de l’entreprise, qui avait atteint son maximum, à 1,7 milliard de dollars, en 1997 et 1998, est depuis redescendu à 1,3 milliard, ce qui laisse à penser que Iomega ne sest jamais vraiment remis de la démocratisation des CD-R et CD-RW.
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