Sun annonce un successeur à l’E 10000 fin septembre
Comportera-t-il 128 processeurs ? Ou encore plus ? Toujours est-il que le successeur de l’Enterprise E 10000 StarFire, de Sun, exploitera des UltraSparc III et non plus des UltraSparc II. Le lancement officiel a été annoncé par Sun pour le 26 septembre, et le constructeur devrait aussi en profiter pour dévoiler des stations de travail. Avec ce lancement, Sun prend quelques mois d’avances sur IBM, qui annoncera Regatta, sa nouvelle machine haut de gamme, pour le dernier trimestre.
Des serveurs lame sous Linux
Le fabricant Egenera annonce le lancement pour le 11 septembre d’un serveur lame sous environnement Linux. Afin d’économiser de l’espace, les serveurs ont été débarassés de leurs unités de stockage. Il est ainsi posssible de placer 24 serveurs, bi ou quadriprocesseurs, dans une enceinte de 2,13 mètres de haut. Les serveurs exploitent des processeurs Xeon ou Tualatin, cadencés à 1 et 1,26 GHz. Le prix pour le bas de gamme s’établit autour de 250 000 dollars.
Interwoven renforce son middleware XML
L’éditeur de solutions de gestion de contenus fait l’acquisition de Liquent, un spécialiste du traitement de documents au format XML. Interwoven rachète la technologie Xtent, qui permet de transformer entres eux des documents au format XML (XML, XHTML, SVG, PDF, Microsoft Word) en s’appuyant sur les modèles de documents XML Schema. Cette technologie sera intégrée au middleware Team XML d’Interwoven.
NetObjects ferme boutique
L’éditeur de logiciels NetObjects, détenu à 48 % par IBM, a cessé ses activités et souhaite vendre ses actifs le plus vite possible. NetObjects, spécialisé dans les logiciels de gestion de sites Web, connaissait de graves difficultés financières depuis plusieurs mois. La société avait annoncé il y’a deux semaines que sa trésorerie ne lui permettrait pas de poursuivre ses activités au-delà du 30 septembre. Elle avait engagé le cabinet Broadview International, spécialisé dans les fusions-acquisitions, afin d’étudier les solutions envisageables.
KPN rate la fusion avec Belgacom
L’opérateur belge et son homologue néerlandais ne fusionneront pas, a fait savoir la direction de KPN, suite à l’échec des négociations. L’opérateur néerlandais, très fortement endetté et dont l’action s’effondre depuis le printemps, avait déjà raté une fusion avec Telefonica il y a quelques mois. Sa situation devient, de son aveu même, critique, puisque la trésorerie restante ne lui permet de tenir que jusque lété prochain. Belgacom annonce pour sa part chercher de nouvelles alliances.
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