Pour continuer à profiter de votre musique ou de vos jeux vidéo malgré la pollution sonore ambiante, offrez-vous un de ces nouveaux casques audio à réduction de bruit. Bluffant !
La technologie des casques à réduction active de bruit ne date pas d’hier. Elle apparaît, pour la première fois, dans l’aviation, sur les casques des pilotes de ligne. Pour communiquer entre eux et avec le sol sans être génés par le vrombissement constant des moteurs des avions, les pilotes devaient, en effet, bénéficier d’une bonne qualité sonore et d’une protection efficace contre les bruits ambiants.
À la portée du grand public Depuis les années 90, cette technologie est enfin à la portée du grand public. Les casques à réduction de bruit sont quasi identiques aux autres casques audio, à ceci près qu’ils sont tous équipés d’une pile pour faire fonctionner leur système antibruit. Côté efficacité, ne vous attendez tout de même pas à une absorption totale du brouhaha environnant. Cette technologie réduit le bruit, mais ne le supprime pas. En théorie, comme le signal externe (le bruit ambiant) et le signal artificiel produit par le dispositif s’annulent, il ne reste plus que la musique écoutée (voir encadré). Dans la réalité, cette technologie est uniquement conçue pour fonctionner sur de basses fréquences (environ 200 à 300 Hz), très graves, comme les ronronnements de moteur ou encore des bruits ambiants de bureau. Les aigus et les médiums, comme les voix, ne sont donc pas filtrés. Si vous espériez ne pas entendre vos collègues de travail ou le petit dernier qui pleure, c’est ratéMais comment savoir quel est le casque le plus efficace ? Les services marketing des fabricants mettent en avant dans leurs brochures et packaging le niveau maximum de réduction du bruit de leur modèle. Une valeur exprimée en dB ou en pourcentage, variant selon les modèles de 10 à 22 dB, soit une réduction des bruits ambiants allant jusqu’à 99 %. Dans la pratique et lors de nos tests en laboratoire, nous avons constaté que l’efficacité des casques ne correspond pas à la valeur de réduction indiquée et qu’elle varie d’un casque à l’autre, allant de la quasi-suppression du bruit nuisible à une inefficacité patente.Pour fonctionner, les casques à réduction de bruit nécessitent d’être alimentés en électricité par un accumulateur. Si certains produits peuvent accueillir une pile directement dans la coque des écouteurs, d’autres modèles plus petits nécessitent un boîtier externe pour loger les piles (souvent AAA). Parfois volumineux, celui-ci est relié au câble audio du casque. Les tarifs de ce type d’appareils oscillent entre 60 et 400 euros.
Deux catégories d’oreillettes Parmi les casques à arceau que nous testons dans ce comparatif, on distingue deux catégories de produits : les circum-auraux dont les coussinets font le tour (circum) et englobent l’oreille, et les supra-auraux dont le diamètre est plus petit et les coussinets appuient sur l’oreille. Bien plus encombrants, les premiers sont également plus confortables et peuvent se porter plus longtemps que les seconds. Ainsi, un casque circum-aural trouvera sa place auprès d’un ordinateur, d’une chaîne hi-fi ou d’une télévision alors qu’un casque supra-aural sera le compagnon idéal d’un baladeur MP3, d’un smartphone, d’un net-book ou bien encore d’une console de jeu portable.Une solution certes un peu plus encombrante que les casques intra-auriculaires qui s’enfoncent dans le conduit auditif, mais bien plus agréable à l’usage et plus efficace pour se couper de la pollution sonore ambiante !
Sans aucun doute le meilleur modèle de notre comparatif. Ce casque de salon (160 euros prix fabricant, 90 euros sur Internet) sort du lot grâce à sa qualité d’écoute et l’efficacité de son système de réduction de bruit.
Idéal pour voyager, ce casque peu encombrant est vendu 100 euros (prix fabricant). Sur Internet, nous l’avons trouvé à 55 euros environ, ce qui en fait le meilleur rapport qualité-prix de notre dossier.
Comment ça marche Les systèmes antibruit des écouteurs reposent sur un jeu de composants électroniques. De minuscules microphones placés dans les écouteurs ont pour but de capter le bruit extérieur ambiant. Un DSP (Digital Signal Processor , processeur de signal numérique en français) se charge ensuite de comparer le signal audio écouté avec celui du micro ambiant et de générer en temps réel un signal en opposition de phase. Seul souci : le temps de calcul nécessaire est tel que les casques d’entrée et de milieu de gamme ne parviennent pas à supprimer complètement le bruit ambiant, d’où le terme de réduction de bruit plutôt que de suppression de bruit.
Comment nous avons testé Nous avons détaillé les caractéristiques physiques de chaque casque : son type (ouvert, fermé), la forme de ses oreillettes (circum-aural, supra-aural), mais aussi son poids. Cette dernière caractéristique a fait l’objet d’une note, de même que le nombre de piles nécessaires à son fonctionnement.
Primordial lors d’une écoute prolongée, le confort a été minutieusement évalué par un jury de cinq personnes. Stabilité sur la tête, confort des coussinets sur ou autour de la tête ont été pris en compte pour établir cette note. Le confort d’utilisation tient compte aussi de la longueur du câble audio, l’envergure du casque, son encombrement une fois plié et l’emplacement des piles.
Afin d’évaluer la qualité sonore des casques, notre laboratoire a utilisé une tête de mannequin Neumann conçue pour reproduire la morphologie de la tête humaine. Les casques ont été placés sur les oreilles du mannequin. La qualité de restitution des sons, ou bande passante, a été mesurée en envoyant aux casques des sons allant de 20 Hz à 20 kHz (correspondant à la capacité de l’oreille humaine à la naissance), du plus grave au plus aigu. Un micro récupère le son joué et un oscilloscope sert à analyser le volume auquel chacune des fréquences est restituée. La sensibilité de chaque casque, ou pression acoustique, a été mesurée en envoyant un son de 1 000 Hz avec une tension de référence de 334 mV. Plus la pression acoustique du casque est élevée, plus il pourra restituer un niveau de volume élevé sans saturation.
Au-delà des chiffres et des mesures, rien ne remplace l’oreille humaine pour juger la qualité audio. Un jury de cinq personnes a évalué la qualité des casques en écoutant des morceaux de musique de tous les genres sur un baladeur numérique. L’efficacité de réduction du bruit a été évaluée avec et sans musique, dans des environnements sonores de bureau, d’avion et de train, des enceintes restituant des enregistrements audio de ces environnements.
Philips – SHN9500 : Le nec plus ultra Redoutable contre les bruits environnants, ce casque remporte haut la main la palme du confort. Il reste néanmoins encombrant.
Si vous souhaitez le top du casque à réduction de bruit, ne cherchez pas plus loin ! Ce modèle fermé et circum-aural s’avère très confortable pour les oreilles tout en protégeant efficacement contre les bruits environnants. Une fois le système d’annulation de bruit activé, notre jury n’a plus entendu le bruit d’avion utilisé lors de nos tests. Impressionnant. Il est tout aussi efficace pour des nuisances sonores de bureau (climatisation, ordinateurs, brouhaha). On pourra donc l’utiliser avec ou sans musique, pour s’isoler. Sa qualité audio n’est pas en reste, avec un son ample, reproduisant toutes les fréquences, des graves jusqu’aux aigus. Sa bande passante, mesurée de 34 à 17 342 Hz, est l’une des plus larges de notre dossier. Par ailleurs, avec 107,1 dB, ce casque possède la meilleure sensibilité de notre comparatif. Il ne sera donc pas nécessaire de trop augmenter le volume pour que le casque restitue un bon niveau sonore. Évidemment, certains lui reprocheront ses dimensions qui le rapprochent plus d’un casque hi-fi de salon. Les écouteurs pivotent cependant de 90°, ce qui permet de le glisser facilement dans la housse de transport semi-rigide fournie, avec son câble audio et ses adaptateurs (prise avion et jack 6,35 mm).
Note
14,8/20
Les plus
Un confort inégalé L’efficacité contre le bruit Une bonne qualité audio
Les moins
Encombrant Pas de contrôle du volume
Prix
160 euros environ
Maxell – HP-NC22 : Qualité filtre ! Le HP-NC22 est le champion de la réduction de bruit. Une fois le système activé, notre jury n’a plus entendu le bruit de fond de la cabine d’avion et quasiment plus les nuisances sonores du train (sauf le crissement des roues sur les rails, alors trop aigu pour être compensé par le système). De ce point de vue, il devance légèrement les casques de marques Philips et Panasonic. Il offre en prime un bon confort d’utilisation avec des coussinets qui enveloppent parfaitement les oreilles. Comme le Philips, il est dépourvu de molette de contrôle du volume. Côté audio, sa bande passante s’arrête à 11 206 Hz, éliminant certains sons aigus. Les graves, quant à eux, sont un peu trop présents. Et sa sensibilité est la plus faible que nous ayons testée : 93,9 dB. À fort volume, le son saturera. Dommage, car sans ces mauvais chiffres techniques, ce modèle aurait remporté la première place de notre comparatif, notre jury ayant malgré tout beaucoup apprécié sa restitution sonore.
Note
13,2/20
Les plus
L’efficacité contre le bruit Le confort
Les moins
La mauvaise sensibilité audio Trop de basses et pas assez d’aigus Pas de réglage du volume
Prix
125 euros Environ
Panasonic – RP-HC500 : Performant mais cher Ce modèle de salon est le grand frère du RP-HC101, conçu pour les voyages. Comme tout modèle fermé de type circum-aural, il s’avère confortable à l’usage. Son système de réduction de bruit s’est montré efficace lors de nos tests contre les nuisances sonores. Côté restitution audio, il souffre des mêmes travers que le modèle de Maxell : sa bande passante va loin dans les basses (elle commence à 20 Hz), mais le casque oublie les médiums et les aigus avec une limite haute située à 11 260 Hz. La sensibilité du casque est exécrable, elle a été mesurée à 95,3 dB. Par ailleurs, il ne possède pas de molette pour régler le volume sonore, ce qui aurait pu compenser sa mauvaise sensibilité avec un son plus élevé sur le baladeur et un réglage du volume sur le casque. Enfin, s’il est annoncé à 200 euros environ par son fabricant – le tarif le plus élevé de notre dossier -, ce casque se trouve à 100 euros sur Internet. Une réduction conséquente qui le rend bien plus intéressant…
Note
12,8/20
Les plus
L’efficacité contre le bruit Le confort
Les moins
Une bande passante irrégulière et étroite Pas de réglage du volume
Prix
200 euros Environ
Panasonic RP-HC101 : Idéal pour voyager Petit, léger, économique et performant, ce casque est conçu pour vous accompagner partout. Mais durant vos longs trajets, il finira par irriter vos oreilles.
Avec le HC101, Panasonic a conçu le casque pour voyager. Ultraléger (90 grammes), son arceau est souple et ses écouteurs se plient complètement afin de pouvoir être rangés dans la petite pochette de voyage fournie. Rien à voir donc avec un gros casque de salon, deux fois plus encombrant, et qui, une fois porté, est parfois difficile à assumer en public tant il est peu discret. Le HC101 vous accompagnera partout, en avion (un adaptateur de prise avion est fourni), dans le train, le bus ou le métro. Malgré sa petite taille, la réduction de bruit est efficace, mais légèrement en retrait face aux casques de Maxell et de Philips. Bien que ce soit un modèle fermé de type supra-aural, le HC101 tient parfaitement sur la tête, même si l’on fait du sport. Revers de la médaille : il finit par faire mal aux oreilles si on le porte longtemps (au moins deux heures). Comme tout casque supra-aural, la pile est logée dans un boîtier externe situé sur le câble audio. Certes, c’est plus encombrant, mais ce boîtier a l’avantage d’avoir une molette de réglage du volume et un bouton pour couper la musique et la réduction de bruit afin de prendre part à une conversation pendant un court moment. Annoncé à 100 euros, ce casque est la bonne affaire de ce dossier. D’autant que nous l’avons déniché à 50 euros environ sur Internet. Un prix imbattable !
Note
13,4/20
Les plus
Des dimensions et un poids réduits L’efficacité contre le bruit La qualité audio Réglage du volume
Les moins
Irrite les oreilles si on le porte longtemps Le boîtier de commande externe
Prix
100 euros Environ
Pioneer SE-NC70S : Confortable, mais peu ficace Ce modèle de salon de type fermé englobe bien les oreilles, mais sa réduction de bruit est l’une des moins efficaces. En effet, quand on active le système de réduction de bruit, la musique écoutée s’en trouve déformée alors que l’efficacité de la réduction de bruit est à peine perceptible ! Par ailleurs, ce modèle est le seul de notre dossier à nécessiter deux piles AAA (fournies). Pour autant, ce surcroît d’énergie ne profite pas à l’autonomie : Pioneer annonce 20 heures d’autonomie alors que les autres modèles tiennent allègrement entre 40 et 50 heures avec une seule pile ! L’ensemble pèse 234 grammes, contre 90 grammes pour le casque le moins lourd. Côté audio, le son restitué par le casque manque d’aigus et de mediums, avec une bande passante très étroite (84 à 11 249 Hz). À noter que ce casque possède une molette sur un des écouteurs pour régler le volume sonore. Mais ce détail et l’excellent confort général ne suffisent pas à justifier à eux seuls l’achat de ce casque.
Note
12,3/20
Les plus
Le confort La molette de réglage du volume
Les moins
L’inefficacité de la réduction de bruits Nécessite deux piles La bande passante étroite
Prix
120 euros Environ
Denon AH-NC732 : Moyen partout Grand spécialiste de la hi-fi, Denon a conçu un modèle qui essaie de combiner les avantages du casque de salon et la mobilité d’un casque de voyage. En effet, ce modèle de type fermé a un diamètre plus petit qu’un casque de salon. Ses coussinets n’enveloppent pas l’oreille, mais se posent dessus. Du coup, son confort est moindre qu’un casque circum-aural. En contrepartie, l’unique pile nécessaire au fonctionnement du système antibruit se loge dans le casque lui-même et non dans un boîtier externe, comme avec les autres casques de voyage. Reste qu’à environ 190 euros, prix fabricant, ce casque déçoit. La réduction de bruit est peu perceptible. On est donc très loin des 99 % des bruits supprimés annoncés par le fabricant. De plus, la qualité audio est médiocre : la bande passante, irrégulière et étroite (de 84 à 11 251 Hz mesurés), se traduit à l’écoute par un son étouffé, lointain, sans les médiums indispensables à une bonne reproduction des voix.
Note
12,1/20
Les plus
Un modèle transportable
Les moins
Manque de médiums Un son étouffé Le prix
Prix
190 euros Environ
AKG – K480NC : Manque de tenue Ce casque est l’un des moins confortables de notre dossier. Il tient mal sur la tête, car l’arceau n’est pas assez serré pour plaquer les petits écouteurs semi-ouverts sur les oreilles. Si vous écoutez de la musique classique, vous n’aurez pas de souci. En revanche, si vous bougez la tête en marquant le rythme, sur un rock endiablé par exemple, cet K480NC de AKG se fait la malle ! De plus, si les coussinets semblent agréables les premières minutes, leur pression vous fera mal aux oreilles lors d’une écoute prolongée. Comme tout modèle de voyage, ce casque utilise un boîtier de commande externe pour accueillir la pile. Mais celui-ci est plus encombrant que la moyenne avec 10,5 cm de long et il ne comporte pas de réglage du volume.
Côté qualité d’écoute, ce casque s’en sort un peu mieux. Sa bande passante est régulière et le son est correctement restitué sur presque toutes les fréquences. En revanche, la réduction de bruit émet un souffle et manque d’efficacité.
Note
11,8/20
Les plus
Une bonne bande passante
Les moins
Tient mal sur la tête Émet un souffle Réduction de bruit peu efficace Boîtier encombrant
Prix
180 euros Environ
Sennheiser – PXC250-II : Un poids plume cher Voici le successeur du PXC250, le best-seller des casques à réduction de bruit. C’est dire s’il était attendu au tournant. Comme son prédécesseur ce casque est idéal pour voyager : il se plie complètement, comme une paire de lunettes. Son encombrement représente au final un tiers du volume des casques les plus gros. Un boîtier de commande externe permet le contrôle du volume et de l’activation de bruit. Malheureusement, son efficacité en terme de réduction de bruit est moyenne. Musique coupée et annulation de bruit activée, le jury a néanmoins continué à entendre les sons des tests de cabine d’avion ou de brouhaha de bureau. Évidemment, la musique permet de mieux couvrir les nuisances sonores. Côté performances audio, elles sont plutôt mauvaises : la sensibilité est de seulement 94,4 dB et la bande passante étroite montre qu’il ne restitue pas bien les infrabasses (en dessous de 500 Hz) et les aigus au-dessus de 3 000 Hz. De plus, ce modèle est l’un des plus chers de notre comparatif…
Note
11,4/20
Les plus
La taille et le poids
Les moins
Le prix Le boîtier externe La réduction de bruit peu efficace
Prix
170 euros Environ
T’nB Immersion M22 : Confortable, mais encombrant Ce casque de salon porte bien son nom : dès qu’on le pose sur la tête, vous êtes complètement immergé par la musique. Ses coussinets englobants lui assurent une bonne isolation naturelle. Le confort est assuré, mais ce modèle est le plus encombrant de notre dossier. Même s’il est vendu avec tout un nécessaire de voyage (étui semi-rigide, adaptateur avion et jack 6,35 mm), on réfléchira à deux fois avant de l’emmener avec soi. Côté performances audio, le tableau est moins rose. La bande passante est très irrégulière avec des basses trop présentes au détriment des autres fréquences. La réduction de bruit rééquilibre un peu la courbe en refaisant émerger les aigus, mais le système antibruit manque d’efficacité. Côté positif : ce casque est bradé. Nous l’avons déniché à 30 euros seulement sur Internet, soit un cinquième du prix annoncé par son fabricant !
Note
11,2/20
Les plus
Le prix sur internet Le confort
Les moins
L’irrégularité de la bande passante Trop de basses L’encombrement
Prix
150 euros Environ
Sony MDR-NC40 : Souffler n’est pas jouer À 100 euros, ce casque de voyage Sony est plutôt bon marché . Ce prix d’appel cache un produit bâclé : non seulement la réduction de bruit est inefficace (on entend toujours distinctement le bruit du train, de l’avion et le brouhaha des bureaux), mais elle introduit aussi un souffle très désagréable à l’oreille. On ne pourra donc même pas utiliser ce casque sans musique, pour s’isoler. Qui plus est, la restitution sonore de la musique manque d’aigus, la bande passante s’arrêtant à 9 772 Hz là où les meilleurs casques vont jusqu’à 18 000 Hz.
Comme tout modèle de voyage, ce casque utilise un boîtier externe pour loger la pile et le système d’activation de l’annulation de bruit. Sony a oublié d’y ajouter des boutons ou une molette pour contrôler le volume. Pour autant, ce casque possède quelques qualités : il est léger, (116 g), peu encombrant et ses coussinets de type supra-aural sont très confortables.
Note
10,6/20
Les plus
Le prix Le confort
Les moins
Émet un souffle La réduction de bruit peu efficace Le manque d’aigus
Prix
100 euros Environ
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