Cet essai devrait être étendu au reste du monde avant la fin de l’année. La société prévient qu’une plus grande partie du catalogue devrait être disponible à l’avenir. Et elle a de quoi faire car EMI produit environ 1000 albums par an.Pour écouter les morceaux choisis, les internautes devront se rendre sur les sites des partenaires d’EMI comme DiscoverMusic.com ou Listen.com. En février dernier, cette dernière a reçu des investissements de BMG, d’EMI, de Universal, de Warner Music et, enfin, de Sony.Cette annonce consacre un peu plus l’avancée de Microsoft dans la gestion des droits musicaux. L’éditeur de Redmond sera en effet le partenaire technique exclusif d’EMI pour le téléchargement et la lecture des morceaux de musique. La partie n’est pourtant pas jouée, puisqu’EMI doit bientôt passer dans le giron d’AOL-Time Warner, peu soupçonnables de penchants pour Microsoft.
La maison de disques allemande BMG a fait le même choix qu’EMI, en annonçant, il y a un mois, sa stratégie de diffusion sur Internet.EMI annonce en plus qu’elle fera son possible pour “ assurer au consommateur la flexibilité de télécharger sur des PC domestiques, de graver des CD-ROM ou encore de transférer des copies vers des dispositifs portables “. Les internautes pourront également télécharger deux fois le même disque afin de parer à tout problème informatique ?” crash du disque dur ou virus.
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