Fini les clichés étriqués : le grand-angle se généralise dans les compacts numériques. Leur champ de vision s’élargit pour offrir des images plus saisissantes et aérées.
Cas d’école : repas dominical, la grand-mère est là, les cousins aussi. Vingt personnes dans le salon et le tonton qui passe son temps à hurler “ Serrez-vous, serrez-vous ! ” tandis que, bloqué par le mur derrière lui, il s’écrase le plus possible contre celui-ci afin de faire entrer dans le cadre les petits qui gigotent sur les côtés. Tout un cinéma qui aurait pu être évité si l’optique de l’appareil photo numérique avait été grand-angle…Pour comprendre ce qu’est un grand-angle, il faut se replonger dans le monde merveilleux de l’argentique et revenir quelques années en arrière. Dans les années 1970, la focale standard des appareils compacts et reflex est le 35 mm. Facile à fabriquer, une telle optique respecte les perspectives et ne déforme pas les sujets. Mais on se sent vite à l’étroit pour capturer aussi bien les intérieurs que les monuments ou les larges panoramas. Afin de mettre plus d’éléments dans l’image, les fabricants ont développé des optiques au champ de vision plus large, appelées grands-angles. La focale la plus accessible et la plus répandue à cette époque était le 28 mm et c’est donc elle qui nous a servi d’étalon pour choisir les appareils testés dans ce comparatif.Les plus observateurs auront remarqué que les valeurs communiquées par les fabricants diffèrent de celles gravées sur les blocs optiques des appareils. La raison est simple : les capteurs des compacts numériques étant plus petits que la surface sensible des pellicules, le rapport optique n’est pas le même. Les constructeurs étant libres de développer l’appareil qui leur plaît, ils se sont mis tacitement d’accord pour communiquer une valeur convertie, afin de rester fidèle à la culture de la pellicule 35 mm, appelée “ format 24 x 36 ” . Quiconque a déjà essayé un 28 mm en argentique se fait facilement une idée de ce que cela donne en numérique.
Correction automatique Le grand-angle dans les compacts ne coule pas de source. Produire de si petits blocs optiques est un vrai défi. Après avoir été l’apanage de modèles haut de gamme et la chasse gardée de certaines marques comme Panasonic, la technologie arrive enfin sur des compacts à prix plus convenables ? le modèle le moins cher est à environ 160 euros !Mais attention, outre les différences de qualité matérielle, les fabricants ont un autre obstacle à surmonter : traiter efficacement les défauts inhérents au grand-angle. Ces focales ont en effet la fâcheuse tendance à déformer un peu l’image sur les côtés et à “ vigneter ” fortement, c’est-à-dire à sous-exposer les coins par rapport au centre. Il convient donc de corriger les clichés pendant l’enregistrement au moyen d’algorithmes programmés dans la mémoire de l’appareil. Il faut donc produire de bonnes électroniques, de bonnes optiques et de bons micrologiciels : une épreuve complète !Dans ce triathlon, deux appareils sortent du lot. Une compétition pleine de surprises puisque sur les deux champions dont nous chantons les louanges dans ce dossier, le premier est le favori et le second un parfait outsider.
La vidéo HD en prime Panasonic étant le premier constructeur à communiquer massivement sur les optiques grands-angles, premier aussi à les décliner sur la quasi-totalité de la gamme, sa première place semble logique. D’autant que cela fait des années que la marque nippone travaille de concert avec l’allemand Leica, véritable mythe de l’optique.La présence de Samsung sur le podium nous a en revanche totalement surpris : que de chemin parcouru en si peu de temps ! Une vitesse de progression qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler Panasonic.Si ces deux appareils nous apparaissent complets au travers, notamment, de la maîtrise de la vidéo HD, les compacts ne sont pas tous aussi homogènes. Certains, de marques pourtant prestigieuses, font totalement l’impasse sur cette technologie et se contentent d’un mode VGA antédiluvien. Mais nul doute que la vidéo HD sera, avec les hautes sensibilités, la prochaine technologie incontournable. Avant que les fabricants de compacts ne trouvent un nouveau cheval de bataille…
La fin de la guerre des mégapixels Si vous jetez un coup d’œil aux fiches techniques, un élément saute aux yeux : la définition des capteurs est limitée entre 10 et 12 mégapixels. Cette stagnation de la densité des photosites (éléments du capteur sensibles à la lumière, trois photosites sont nécessaires pour générer un pixel) va même plus loin : Canon vient juste de lancer le PowerShot G11, compact de professionnel équipé d’un capteur 10 Mpix, là où son ancêtre, le G10, culminait à 14,7 Mpix… Loin de représenter un retour en arrière, cet arrêt de la course aux mégapixels exprime, a contrario, une prise de conscience du marché. Que la physique impose des contraintes, certes, mais surtout qu’il ne sert à rien de shooter en 25 Mpix si les photos ne sont diffusées que sur le Web, sur un téléviseur ou un cadre photo, 10 mégapixels étant largement suffisants pour des tirages A3. Le marché devient sans doute plus mature, théorie confirmée par l’arrivée de capteurs de nouvelle génération qui privilégient la qualité d’image à la quantité de pixels. Ce n’est pas trop tôt !
Comment nous avons testé Pour obtenir une image à la fois précise et piquée, l’appareil photo doit associer un capteur de qualité à un objectif dont la conception et la fabrication permettent d’obtenir une bonne netteté. Pour le vérifier, les ingénieurs du laboratoire ont dans un premier temps photographié une mire maison, qui détecte les zones de flou à la fois au centre mais aussi en périphérie de l’image. Cette première mesure est corroborée par l’analyse mathématique du logiciel DxO qui, lui, s’appuie sur une mire spécialement conçue.
Dans une pièce à éclairage “ couleur du jour ” maîtrisé, les ingénieurs photographient une mire professionnelle Gretag McBeth. Le fichier de la photo prise est ensuite analysé à l’aide d’un programme développé en interne. Les valeurs caractérisant chacune des couleurs sont ainsi comparées à celles fournies en référence pour la mire. Plus les écarts sont grands, moins l’appareil photo reproduit fidèlement les couleurs.
La réactivité d’un APN est cruciale pour réaliser de beaux instantanés. L’ingénieur a mesuré, au 1/100 s près, le délai entre l’appui sur le déclencheur et la prise de vue en photographiant un chronomètre numérique affiché sur un écran cathodique à balayage très rapide. Les mêmes mesures ont été réalisées pour le mode rafale et l’autofocus.
Chaque appareil a été placé, dans le labo photo à éclairage contrôlé, devant une mire du logiciel DXO afin de calculer le piqué (capacité à rendre les détails), la distorsion (déformations des lignes géométriques), les aberrations chromatiques (apparitions de franges colorées parasites) et le vignetage (obscurcissement de l’image dans les coins aux petites focales).
Nos ingénieurs ont évalué la richesse et l’accessibilité des dispositifs de réglage. Sans oublier le confort et la précision de la visée ainsi que la taille et la qualité de rendu de l’écran de contrôle.
Et demain ? Prochaine bataille : les hautes sensibilités Après la guerre des mégapixels, la lutte pour le grand-angle et l’escarmouche de la vidéo HD, le prochain terrain d’affrontement des fabricants se fera sur la terre des hautes sensibilités (photo de nuit ou par faible éclairage). Dans ce domaine, c’est Fujifilm qui a montré la voie avec son capteur EXR. Fruit de dix ans de recherche, il est le premier à avoir permis à un compact ? le F200EXR de ce comparatif ? de faire des photos propres à 1600 Iso. Capturant deux images simultanément, il sacrifie la résolution en la divisant par deux pour pousser, au choix, la sensibilité ou la plage dynamique. Sony vient juste de répliquer avec son Exmor R : un capteur dans lequel les circuits imprimés reliés aux photosites sont désormais à l’arrière de la surface photosensible. Un gain de place estimé à 40 % pour récupérer plus de lumière et donc pousser plus loin la récupération des détails en basses lumières. Pour l’anecdote, un responsable de Panasonic nous a récemment confié qu’on pourrait prochainement, retrouver ce type de capteur dans ses compacts. On n’arrête pas le progrès…
Panasonic – Lumix DMC-FX60 : Le favori Il voit plus large (25 mm !) et s’avère plus rapide que ses concurrents. Son optique, excellente en grand-angle, perd un peu de sa superbe lorsque l’on zoome à fond, mais rien de grave. Aucun défaut majeur, mais on aurait aimé une finition un peu plus haut de gamme.
Samsung PL-70 : L’outsider Qualité d’image équivalente, voire parfois supérieure à son concurrent, c’est la surprise de ce comparatif. Les menus gagneraient à être simplifiés, la coque affinée et l’ensemble plus réactif. Un rapport qualité-prix totalement imbattable !
Panasonic – Lumix DMC-FX60 : Rapide et performant Premier de cette compétition, il est bon dans tous les domaines et offre le grand-angle le plus large. Il n’est toutefois pas exempt de défauts.
C’est l’appareil sans grande faille de ce comparatif : rapide à l’allumage et au déclenchement, réactif, les images obtenues ici sont parmi les meilleures. Son design ? robe noire mate aux contours chromés ? convient autant aux hommes qu’aux femmes. Et s’il n’est pas le plus robuste de notre sélection, il est l’un des plus légers. Confirmant la maîtrise optique de Panasonic dans le domaine des compacts, le FX60 dispose du grand-angle le plus large de la compétition ? 25 mm en équivalent 24 x 36. Un réel plus pour les amateurs de larges panoramas ou de photos rapprochées, d’autant qu’en plus du format 4/3, les modes 3/2 et 16/9 sont disponibles. Cette large focale se paye : équipé du même facteur de zoom (5x) que la majorité des concurrents, son grossissement est un peu moins important (125 mm). La vidéo HD est d’excellente qualité, même si on aurait préféré un encodage en H.264 plutôt que du M-JPeg et un encapsulage plus efficace que le format .mov, qui nécessite généralement l’installation de Quicktime. Comme à l’accoutumée chez Panasonic, le mode automatique intelligent (iA) fait des merveilles, adaptant toujours avec justesse les paramètres aux besoins. Et même si le FX-60 n’est pas équipé d’un capteur nouvelle génération (voir encadré page suivante) , il se comporte admirablement bien dans les hautes sensibilités. Une valeur sûre.
Les plus
Qualité d’image Grand-angle 25 mm Rapidité Sobriété
Les moins
Trappe fragile Encapsulage vidéo HD
Prix
260 euros environ
Samsung – PL-70 : Le challenger Meilleur rapport qualite-prix, il s’en est même fallu de peu qu’il ne remporte la palme technique. Une âme de vainqueur !
Samsung confirme ses prétentions dans le domaine des compacts numériques : s’offrir rapidement une place d’acteur crédible. Non seulement ce PL-70 se paye le luxe du meilleur rapport qualité-prix, mais il s’attribue une deuxième place technique bien méritée. Plus massif et un peu moins raffiné que le FX-60, il dégage cependant une plus grande impression de solidité. Samsung a soigné son produit avec une finition aluminium brossé en façade et un grip bienvenu. Côté qualité d’images, ses clichés sont bons, très bons, étonnamment bons pour une marque arrivée la dernière dans l’arène de la photographie numérique. Grâce soit rendue à son bloc optique qui, au regard des tests de notre laboratoire, s’avère excellent même si ses valeurs d’ouverture restent modestes. Mais tout n’est pas parfait et Samsung a encore une marge de progression : la molette de zoom n’est pas un modèle d’ergonomie, la vitesse gagnerait à être améliorée et les menus sont encore un peu fouillis… et lents. Le bruit en hautes sensibilités est correctement contenu : on sent ici l’énorme travail consenti par le Coréen, parti de très loin et désormais au niveau des acteurs majeurs. Performant et proposé à un prix plus qu’attractif, ce PL-70 est une vraie démonstration de force.
Les plus
Rapport qualité-prix Qualité des clichés Solidité
Les moins
Molette de zoom Ergonomie des menus
Prix
200 euros environ
Fujifilm – FinePix F200EXR : Un capteur de haut vol D’une conception exemplaire, ce compact renferme un capteur très performant en hautes et basses lumières (technologie EXR). Il récupère la lumière là où elle manque ? notamment dans les parties ombragées en plein jour. Son optique, excellente, lui évite un trop fort vignetage et le traitement numérique délivre de bons clichés ? quoiqu’un peu mous ? aux couleurs fidèles. On apprécie en outre les modes de simulation des films de Fujifilm, qui saura ravir les nostalgiques de l’argentique. Performant, ce F200EXR souffre cependant de deux tares : une interface logicielle perfectible et un peu lente, et un mode vidéo VGA (640 x 480 points) qui fait pâle figure à côté des modes HD 720p de la concurrence.
Les plus
Plage dynamique étendue Gestion hautes sensibilités Fidélité des couleurs
Les moins
Menus peu ergonomiques Pas de vidéo HD
Prix
270 euros environ
Olympus – Mju-7010 : Œil perçant Son grand-angle ne l’empêche pas d’y voir loin : avec son zoom 7x, il laisse la concurrence sur place, poussant sa focale à 196 mm quand les autres stoppent à 140 mm. Ce qui fait de lui un appareil très polyvalent, aussi à l’aise pour la photo de paysage que pour capturer un détail sur un objet éloigné. Un tel zoom intégré dans un boîtier si compact induit cependant un léger défaut : l’appareil extraplat se retrouve légèrement déséquilibré physiquement une fois celui-ci déployé. Quant aux photos, elles sont de très bonne qualité tant que la lumière est de son côté. Mais dès que celle-ci se fait rare et qu’il monte un peu trop haut en Iso (400-800 Iso), un grain assez prononcé apparaît.
Les plus
Zoom puissant Design et finition
Les moins
Prise en main déséquilibrée Faiblesses en basse lumière Pas de vidéo HD
Prix
250 euros environ
Canon – Ixus 120 IS : Le top model Le compact au design le plus soigné de notre comparatif. D’un point de vue esthétique d’une part, mais surtout en termes de finition et de sens du détail. Semblable à un galet, au toucher froid et franc, ce nouvel Ixus est un bel objet, élégant et discret. À côté de lui, les Samsung PL-70 ou Fujifilm FinePix F200 EXR, techniquement supérieurs, semblent gauches et mal habillés. Sous sa robe de top model, on trouve un moteur d’image et une optique de qualité. Un appareil d’autant plus agréable à utiliser que les menus sont rapides et ergonomiques. Il pêche par son zoom très modeste, une qualité d’image légèrement moins bonne que celles de nos champions, notamment dans les prises de vues par faible luminosité.
Les plus
Design magnifique Menus ergonomiques
Les moins
Zoom faible Qualité d’image moyenne
Prix
300 euros environ
Pentax – Optio P80 : Beau et robuste Des compacts aux reflex, la marque de fabrique de Pentax c’est la solidité. Une réputation que n’usurpe pas cet Optio P80, bien au contraire. Il réussit même le tour de force d’associer une grande résistance à un design élégant. Une conception qui a son revers : trop brillante, sa coque noire laquée est sensible aux traces de doigts. Chiffon obligatoire. La qualité d’image est très convenable, même si le bruit est vite présent en basses lumières. Le stabilisateur d’image est malheureusement peu performant et le zoom limité à un grossissement de 4x seulement.
Les plus
Esthétique Solidité
Les moins
Zoom limité Pas de stabilisateur optique ou mécanique
Prix
200 euros environ
Nikon – CoolPix S640 : Toujours prêt C’est le Lucky Luke de la partie. Il ne lui faut qu’une seconde pour se réveiller et prendre la première photo : pratique pour éviter de rater l’instant décisif ! Mais cette suprématie, le CoolPix S640 n’arrive pas à la garder dans le reste des opérations : s’il déclenche le premier, il se comporte en revanche normalement en matière de mise au point ou de latence entre les photos. Plus gênant, ses menus ne sont pas vraiment véloces. Au moins l’ergonomie est-elle en réel progrès, avec des menus simplifiés et des boutons plus gros.
La qualité d’image n’appelle pas de franche critique : si les images ne sont pas les plus précises du comparatif, le bruit est maîtrisé et les éléments optiques sont de bonne qualité. Mais impasse totale sur la vidéo HD. Dommage.
Les plus
Rapide à l’allumage Menus ergonomiques
Les moins
Pas de vidéo HD Lenteur de l’interface logicielle
Prix
250 euros environ
Sony – Cyber-shot DSC-W290 : Peut mieux faire Les menus de ce compact sont parmi les mieux conçus de notre comparatif : Sony capitalise sur son expérience des menus Playstation et propose une interface simple, une navigation épurée et des icônes parfaitement compréhensibles. En revanche, nous avons été déçus par le revêtement du boîtier dont la façade, en métal usiné, râpe et gratte les doigts. Ce qui n’a aucune incidence sur la qualité de fabrication, comme toujours excellente. En ce qui concerne la qualité d’image, signalons une faiblesse en basses lumières et des images pas assez précises, les détails étant vite noyés. Une faiblesse légèrement contrebalancée par la fidélité des couleurs. Bonne mention pour la vidéo HD, de qualité et lisible avec n’importe quel logiciel.
Les plus
Menus simples et clairs Fidélité des couleurs
Les moins
Surface peu agréable Images un peu molles
Prix
220 euros environ
Kodak – Easyshare M420 : Grand-angle à bas coût Bien que son zoom soit limité à 4x, qu’il ne brille pas par sa rapidité et qu’il ne sache pas enregistrer de vidéos en HD, ce petit Kodak a tout de même deux vertus. Tant qu’on reste en pleine lumière, ses photos sont de bonne facture et c’est l’appareil le moins cher du comparatif. Proposé à moins de 160 euros, c’est un ticket d’entrée plutôt doux pour profiter d’une large focale. À ce prix-là, on lui passe ses petits défauts techniques, mais on est tout de même en droit de lui reprocher une ergonomie perfectible. Un comble pour une marque qui fait de la simplicité d’utilisation son leitmotiv. À côté de l’interface de navigation du Sony DSC-W290, ses menus paraissent vieillots et moins bien agencés, et surtout ses boutons sont trop petits et dans un plastique bas de gamme.
Les plus
Prix Qualité d’image très convenable
Les moins
Faiblesses en basses lumières Lenteurs Ergonomie des boutons
Prix
160 euros environ
Casio – Exilim Zoom EX-Z450 : Le grand perdant Avec une latence effrayante entre chaque photo et une qualité d’image médiocre, ce petit compact est le bon dernier de ce comparatif techniquement et l’avant-dernier en terme de rapport qualité/prix. Autant dire une déculottée pour Casio. La faute à un traitement numérique de l’image de piètre qualité : les clichés manquent, dès 100 Iso, de précision et de détails. Des défauts de qualité d’image interdisant, en outre, les agrandissements de qualité, d’autant que la montée en sensibilité est tout aussi décevante. La qualité de fabrication, très convenable, et la finition, impeccable, viennent redorer un blason sérieusement entaché. Casio a du pain sur la planche.
Les plus
Grand écran Vidéo HD
Les moins
Mauvaise qualité d’image Zoom X4
Prix
200 euros environ
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