On n’arrête pas une équipe qui gagne, en l’occurence celle des commandos Ghost Recon ! Spécialisés dans les missions d’infiltration, ces soldats reviennent dans un nouveau volet qui fait tout pour se faire remarquer. Ce qui est un paradoxe au vu de la grande nouveauté du titre : vos troupes de choc sont maintenant équipées d’un « optocamo », un camouflage optique leur permettant de se fondre intégralement dans leur environnement, à la manière d’un Predator ou de Solid Snake dans MGS 4.
Si le système de jeu ne change pas, proposant toujours de diriger un squad de quatre soldats dans des territoires hostiles, le matériel mis à votre disposition a grandement évolué, justifiant sa nouvelle appellation : drones, nouvelle interface de commandement, équipement de détection… La guerre du futur se déroule sous vos yeux. Une guerre qui ne se résout pas que par les armes à distance : le corps à corps acquiert une nouvelle dimension, furtivité oblige. Des nuques vont craquer…
Pyrotechnie de luxe
Techniquement, c’est du très grand art, avec un moteur graphique qui laisse pantois par sa puissance, faisant la part belle aux effets de particules et de destruction. Tout ou presque est destructible, à l’instar d’un Battlefield Bad Company 2. Les missions semblent orientées sur le travail en équipe et la coordination, le titre étant doté d’un mode coopératif à quatre joueurs. Mais c’est dans le tonnerre et les flammes que GRFS se révèle le plus efficace, avec des séquences dantesques de fusillades.
Difficile de juger sur cette courte démo de la vivacité de l’intelligence artificielle, composante importante de ce type de jeu. L’IA est en tout cas réactive : la baston contre un drone blindé soviétique nous a laissés médusés et frustrés. L’envie de prendre la manette au testeur d’Ubisoft était forte ! L’attente sera de courte durée, le jeu devant sortir entre novembre et décembre de cette année.
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