« Nous devons démanteler le cartel de la censure » imposé par les Gafam : Brendan Carr, critique des géants du numérique américains et de la politique de Joe Biden, a été nommé à la tête de la FCC (« Federal Communications Commission »), l’autorité en charge des télécoms aux États-Unis, par Donald Trump.
Dans un communiqué de l’ancien président réélu, le républicain est décrit comme « un guerrier de la liberté d’expression » qui « s’est battu contre les lois réglementaires qui ont étouffé les libertés des Américains et freiné notre économie ».
« Nous devons démanteler le cartel de la censure »
Celui qui faisait déjà partie du régulateur indépendant des communications internationales et nationales et des médias depuis 2012 a réagi dans la foulée sur son compte X : « Nous devons démanteler le cartel de la censure et restaurer le droit à la liberté d’expression des Américains » mis à mal par les mastodontes de la tech américains comme Google, Apple, Meta (Facebook, WhatsApp) et Microsoft, estime l’ancien avocat spécialiste des règlementations.
Brendan Carr était devenu commissaire de la FCC en 2017. Il est connu pour avoir menacé d’utiliser les pouvoirs de cette agence pour réguler les discours en ligne, rappelle The Verge. Pendant la campagne électorale, il estimait qu’il fallait sanctionner ce qui était décrit comme un traitement préférentiel accordé par les grandes chaînes à la vice-présidente démocrate Kamala Harris, selon ce dernier.
« Reprendre le contrôle des Big Tech »
Le Républicain a aussi voté pour l’abrogation des règles de neutralité du Net en 2017, et cette année contre le rétablissement de la neutralité du Net. Pour ce dernier qui avait rédigé un chapitre du « projet 2025 », la feuille de route de l’État fédéral sous Donald Trump, « la FCC doit (…) atteindre quatre objectifs principaux : reprendre le contrôle des Big Tech, promouvoir la sécurité nationale, libérer la prospérité économique et garantir la responsabilité et la bonne gouvernance de la FCC ».
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Brendan Carr a enfin soutenu Elon Musk, patron de Starlink et membre du futur gouvernement de Donald Trump, dans ses demandes de subventions pour les services. Pour le sénateur démocrate Ed Markey, cette nomination revient à mettre à la tête de la FCC « un régulateur menaçant implicitement des entreprises privées pour leur discours », écrit-il sur son compte X. Sous Trump, l’agence « est prête à devenir la Commission fédérale de la censure »•
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Ainsi on pourra poster n’importe quoi via un vpn même des insanités sur lui sa femme et ses gosses super ça on va se marrer l’an prochain !