Qu’on se le dise : Domino n’est pas mort ! Voilà le message qu’IBM entendait faire passer chez ses clients et partenaires, en annonçant le lancement, au deuxième trimestre 2005, de la septième version de
son logiciel de travail de groupe. ‘ Ils se sont posés des questions sur l’avenir de Notes et de Domino, convient Jean-Marc Favennec, vice-président de Lotus Software. Mais nous leur avons prouvé la
pérennité de ces produits à cinq ou dix ans. Le virage a été amorcé avec la version 6, qui a apporté son lot de nouvelles fonctions, pour un coût d’utilisation réduit. Avec la 6.5, nous avons montré que la convergence vers Workplace
commençait. ‘Autrement dit, Big Blue promet à ses clients Notes et Domino de pouvoir bénéficier, à terme, de l’ensemble des fonctionnalités de
Workplace, sa suite de logiciels collaboratifs. De quoi les inciter ?” espère l’éditeur ?” à migrer en masse vers la dernière mouture de Domino.
‘ 75 % de nos clients veulent migrer ‘, annonce d’ailleurs Jean-Marc Favennec.
Une nouvelle version tous les ans
Avec Domino 7, IBM souhaite d’abord faciliter la vie quotidienne de ses utilisateurs. Avec, par exemple, la connexion du logiciel de messagerie instantanée, Instant Messaging, au calendrier ou la possibilité d’annuler des
rendez-vous passés et d’ajouter des réunions dans un calendrier complet… Et parce que l’activité de messagerie des entreprises explose, il sera désormais possible de bénéficier de la robustesse de DB2 au niveau du serveur
Domino.‘ A terme, toute application Domino sera considérée comme un service Web, ajoute Jean-Marc Favennec. Nous offrons ainsi à nos clients la garantie que leurs développements, réalisés sous Domino,
demeureront utilisables. ‘ IBM compte maintenir le rythme de sortie de nouvelles versions de Domino entre douze et quatorze mois.
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