D’emblée, la première impression est assez mitigée : si le graphisme n’est pas franchement désagréable, il paraît toutefois bien vieillot, tant la vue en fausse 3D retenue par les concepteurs a aujourd’hui fait son
temps. Mais on arrive à s’y habituer, et l’on apprécie même la capacité du jeu à gérer des décors immenses et fourmillant de détails, quand ceux de Diablo semblaient parfois un peu vides. Dommage, en revanche, que l’aspect jeu
de rôle ne soit pas plus développé : Divine Divinity se résume finalement à une succession de combats, certes intéressants à mener, mais sans grande originalité.
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