Entamée à la fin de 1997, l’étude a été déployée au mois de novembre 1998. En collaboration avec les services académiques, les établissements scolaires et le conseil régional, il a été décidé de bâtir ex nihilo un réseau répondant aux exigences suivantes.
‘abord, les réseaux pédagogiques et administratifs seraient fondus en un seul réseau, afin de faciliter la communication entre les lycées, les rectorats et le conseil régional. Ensuite, ce réseau viendrait fédérer tous les établissements scolaires des premier et second degrés. Enfin, comme tous les établissements scolaires n’ont pas le même niveau de pratique d’Internet, il fallait que ce réseau soit fortement évolutif et cependant peu coûteux. ‘ Ce dernier point était le plus important. Nous ne voulions pas d’un réseau pérenne, mais “jetable”. Nous savions que ce type d’investissement devait évoluer dans les dix-huit mois. En outre, les offres des opérateurs alternatifs n’étant pas assez mûres, elles étaient incompatibles avec notre exigence d’une offre “jetable” ‘, remarque Jean-Marc Kérilis.
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