Le constructeur a soigné le design de son 7 millions de pixels. Cet appareil est construit autour du capteur Sony que l’on retrouve sur presque tous les appareils partageant la même définition. L’ergonomie générale
est plutôt bonne et offre une prise en main très agréable.L’écran est la première chose qui saute aux yeux. Il s’oriente en tous sens et se replie au dos de l’appareil en position de repos. Ce concept d’écran articulé trouvera son utilité en cas de cadrages
difficiles, et permet également de s’affranchir des reflets du soleil. Le V70 a été conçu pour les amateurs exigeants. Il embarque donc à son bord les classiques modes PSAM épaulés par dix modes scènes en guise de prise de vue
assistée.Le choix des modes se fait par l’intermédiaire d’une petite couronne de sélection située sur le dessus de l’appareil, le paramétrage et l’accès aux fonctions se faisant bien entendu au dos, via
l’écran et le bouton de navigation. Les menus sont assez bien conçus, mais chichement dotés ; pas de fioritures, mais le strict nécessaire.Samsung a équipé le V70 d’un zoom assez classique (38-114 mm) griffé Schneider. La qualité d’image est de bonne facture, mais pas tout à fait à la hauteur de celles de ses concurrents directs, notamment du côté
colorimétrique, avec un rendu un peu terne. L’utilisation des fonctions de paramétrage personnalisées sera nécessaire pour leur rendre un peu plus d’éclat.Le transfert des images vers l’ordinateur utilise une interface USB 2.0 plus rapide que les classiques USB 1 que l’on trouve sur la majorité des appareils, taux de transfert rendu nécessaire par la taille des fichiers
produits : 3 Mo ! Cette dernière a également un impact sur la taille, et donc le coût des cartes mémoire nécessaires pour le V70.
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