Le constructeur PNY présente deux nouvelles XLR8 GeForce GTS 250, l’une munie de 512 Mo de mémoire, l’autre de 1 Go. S’agissant de cartes graphiques monoprocesseurs, elles n’intègrent «que» 240 unités de calcul.
Pour leurs fréquences de fonctionnement, PNY s’est plié aux directives du fondeur, il a donc adopté les valeurs standards de ce dernier. Les unités de calcul (shaders) tournent à 1836 MHz, alors que le processeur turbine à 738 MHz et que la mémoire GDDR3 adopte une fréquence de 2200 MHz. A noter que cette dernière est adressée par un bus de 256 bits, et non de 512 bits comme certaines cartes, pourtant plus anciennes.
Toutes deux peuvent être installées par triplet dans une machine (technologie 3-Way SLI) et, à l’instar de leurs illustres prédécesseurs (GeForce 9800 GTX+), elles intègrent les technologies Nvidia (CUDA, PhysX, PureVideo HD, Hybrid Power,
DirectX 10 et autres). Avec, en prime, la capacité de gérer -sans coup
férir- des résolutions indécentes (telles que 2560 par 1600 pixels) et
d’exploiter, grâce aux lunettes spéciales récemment présentées par
Nvidia, l’affichage 3D stéréoscopique de la technologie 3D Vision.
Ces caractéristiques techniques ne les empêchent nullement d’afficher des performances revues à la hausse par rapport à l’ancienne génération GeForce 9800 GTX. Pour y parvenir, le fondeur Nvidia a tout simplement changé la technologie de fabrication de ses processeurs en optant pour une gravure à 55 nm, au lieu de 65 nm. Une gravure plus fine qui permet aussi de réduire la consommation électrique de la carte. Côté connectivité, on trouve nécessite un adaptateur DVI vers HDMI (livré avec la carte).
Disponibles dès la fin du mois de mars 2009, ces deux cartes graphiques PNY affichent déjà des prix insolents, seulement 159 euros pour la version 512 Mo, et 179 euros pour celle de 1 Go, garantie de trois ans incluse. On regrette seulement qu’elles soient accompagnées du minimum de connectique et d’aucun logiciel de jeu.
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