Le candidat analyse l’intérêt professionnel du projet, la qualité d’innovation de la société et, bien sûr, tous les ” à-côtés ” non négligeables que sont les stock-options, l’aménagement des 35 heures, les conditions de travail… Il n’aura plus qu’à faire son choix. Choix encore facilité par de nouveaux sites comme Tchooze.com, qui donne la parole aux salariés et entrouvre une porte sur la vie dans les sociétés, au-delà de la langue de bois et de la communication formelle. Parmi les candidats, les plus audacieux vont même jusqu’à demander une prime à l’embauche ?” 70 000, 100 000 francs, voire davantage.Cette méthode américaine apparaît désormais en France, surtout pour les postes d’ingénieurs commerciaux, de managers, mais aussi de spécialistes en e-communication, avec quelques bonnes notions de gestion d’entreprise. Ceux-là sont particulièrement gourmands. Ils savent qu’ils sont rares sur le marché et n’hésitent pas à profiter de la situation. La récente chute des cours de Bourse des start-up, au printemps dernier, les incite à répondre aux offres des grands groupes. A condition quils aient les coudées franches, avec une ambiance semblable à celle des start-up, la sécurité en plus et un cours de Bourse plus attrayant.Prochaine chronique le lundi 2 octobre
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