Toujours aussi compact avec sa coque en métal, le Diamond 2 possède un plus grand écran et une version améliorée de son interface TouchFlo 3D. Cette surcouche graphique vient masquer les lacunes de Windows Mobile en rendant le téléphone entièrement pilotable au doigt. Fini le miniscule menu Démarrer déroulant, le nouvel affichage fait la part belle aux grosses icônes qu’il suffit de presser pour lancer une application, comme sur l’iPhone. La navigation Internet est aisée grâce à Opera et à une barre de zoom sensitive située sur le côté de l’écran. L’historique de vos communications avec un de vos contacts (mails, SMS, MMS, voix) est également très pratique. Toutes les informations s’affichent sur l’écran d’appel ou sont regroupées sur une fiche dans le carnet d’adresses. Malgré la 3G, le Wi-Fi et le GPS, l’autonomie du Diamond 2 est correcte, de un ou deux jours selon les utilisations. Elle est meilleure que celle du Diamond 1. Le capteur est désormais de 5 mégapixels, mais les photos et les vidéos produites sont médiocres. En outre, l’appareil ne possède ni bouton photo dédié, ni flash. La mémoire vive du portable constitue un autre point faible : ce smartphone n’embarque que 288 Mo de mémoire. Ce qui est plutôt faible quand on connaît la gourmandise des applications Windows Mobile. L’ajout d’une carte mémoire microSD s’avère donc obligatoire.
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