Cette structure est présentée comme un cercle de réflexion sur le phénomène Internet en Europe. Cette initiative a reçu le soutien symbolique de la Commission européenne.
Les participants de cette nouvelle fondation travailleront à l’influence d’Internet sur le phénomène démocratique, la nouvelle économie et les structures sociales. Le but est d’accompagner la transition vers une société en réseau.
Le projet sera en grande partie financé par des fonds privés, venant entre autres d’Andersen Consulting, Alcatel, British Telecom, Telefonica, UPC et Vivendi.
Pour autant, il est d’ores et déjà stipulé que ‘ la fondation ne prendra pas de position sur des problèmes spécifiques ‘. Autre activité au goût du jour, le parrainage. La fondation s’associe ainsi au premier forum mondial de la démocratie électronique prévu à Issy-les-Moulineaux le 16 mars 2000.
La sphère d’influence de l’EIF résidera donc essentiellement dans sa force de proposition auprès des différentes institutions de l’Union. Elle tiendra également dans la qualité de ses membres.
L’adhésion est ouverte aux ‘ groupements d’intérêts légitimement constitués ‘, comme les grands groupes de communication, ou de simples associations de consommateurs. Pour faire partie du cénacle, il faudra s’acquitter d’un droit dentrée : de 2 000 à 15 000 euros par an.
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