Je suis vraiment surpris qu’un journal comme le vôtre puisse faire “ la promotion ” d’un site comme SmartClic (voir l’Oi+SVM n° 237, page 118). Basé sur le modèle de QuiBids aux États-Unis, il suffit de chercher “ QuiBids ” dans Google pour voir à quel niveau le site et sa réputation se placent : à limite de la légalité et de la fraude. Bien sûr, vous spécifiez : “ Entre vente aux enchères et jeu de hasard ”, mais il vaudrait mieux expliquer le fonctionnement du site et le fait que la plupart du temps, on dépense des SmartClic (virtuels, mais vrai argent) pour rien. Et quelles sont les chances, en termes mathématiques, de remporter un “ écran LCD Samsung à 3,24 euros et 53 SmartClic ! ”
Alberto AresiL’Oi+SVM vous répond : SmartClic (comme d’autres sites français) est effectivement un décalque de QuiBids. Au contraire d’une promotion béate, nous avons justement mis en garde nos lecteurs sur le coût des enchères (“ n’oubliez pas que chaque enchère vous coûte un SmartClic, donc près d’un euro ! ”). Même le principal argument de SmartClic ? les enchérisseurs peuvent acheter au prix réel le bien et récupérer leurs SmartClic perdus ? a été relativisé par nos soins (“ peu intéressant, le tarif pratiqué étant souvent plus élevé que chez les plus compétitifs des vendeurs en ligne ”). Ces sites existent et rencontrent un important succès. Il est donc nécessaire de les évoquer et d’en décortiquer le fonctionnement exact.
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