Le rôle du PowerApp web se limite à servir des requêtes de type Internet (HTTP et FTP). Pour cela, deux configurations logicielles sont disponibles en standard. La première repose sur le couple composé de RedHat et d’Apache, tandis que la seconde s’appuie sur celui formé par Windows et Information Internet Server 5.0. Ces deux configurations sont optimisées pour les applications Internet. Des fonctions de noms de domaine virtuel, de gestion de bande passante ou de suivi des utilisateurs sont incluses.Dell propose des outils d’installation et de supervision très bien conçus. L’administrateur visualise tous les éléments relatifs à la configuration réseau (adresse IP, adresse de masque de sous-réseau, de la passerelle par défaut, du DNS du nom de domaine…) sur un seul écran. Le PowerApp web était architecturé, pour les tests, autour d’un processeur Pentium III cadencé à 600 MHz. Ce serveur peut accueillir des processeurs plus puissants, fonctionnant à 650 MHz et à 700 MHz. En outre, 256 Mo de mémoire vive venaient épauler ce composant. Cette dernière peut varier entre 64 et 512 Mo. Les deux disques Quantum Ultra9 de 9,1 Go ne sont échangeables qu’après l’arrêt du serveur, car ils sont au c?”ur du boîtier. Ce serveur est livré tout en un, dans le cadre d’une configuration dédiée et fermée.
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.
