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Dégroupage en bref

Douze opérateurs supplémentaires (Is Production, QSC, Fast Point Network, Onetel, Altitude Normandnet, Rio Data, Formus, Viatel, Novaxess, Versapoint, Estel et Atout) participeront aux tests de dégroupage…

Douze opérateurs supplémentaires (Is Production, QSC, Fast Point Network, Onetel, Altitude Normandnet, Rio Data, Formus, Viatel, Novaxess, Versapoint, Estel et Atout) participeront aux tests de dégroupage de la phase 2.C’est avec Select Communication, entreprise de 30 personnes, que KPNQwest procède en France à ses premiers tests de dégroupage. Ceux-ci ont permis d’atteindre un débit de 8 Mbit/s ( www.kpnqwest.fr).Depuis début octobre, le Parisien Nerim, qui se définit comme un fournisseur d’accès Internet xDSL, teste le dégroupage sur 12 nouvelles lignes France Télécom des 3e et 4e arrondissements. Il installe et configure les équipements d’abonnés, mais la concentration des accès DSL sur ATM est opérée jusqu’à Courbevoie par LDcom Networks. La chaîne xDSL est fournie par Cisco Systems. Nerim teste l’ADSL dégroupé sur 10 lignes et le SDSL dégroupé sur 2 lignes. Jusqu’ici, il revend les offres Netissimo 1 et 2 de France Télécom et vient de lancer une offre HDSL sur lignes louées ( www.nerim.net) ( www.ldcom.fr).9 Télécom, pour qui l’accès direct à ses clients est une priorité absolue, expérimente le dégroupage depuis juillet dernier à Massy-Palaiseau. Une seconde expérimentation sera lancée à Lyon Parmentier ( www.9telecom.fr).Cegetel, qui mène depuis un an une expérimentation ADSL à Monaco, vient de démarrer des tests de dégroupage à Paris, sous l’égide de lART. Il souhaite pouvoir engager sans délai des discussions techniques et commerciales avec France Télécom “pour assurer le respect du calendrier arrêté par les pouvoir publics” ( www.cegetel.fr).

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La rédaction