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Décalé : Assassin’s Creed aime le métal !

L’ambiance florissante de la Renaissance, la douceur de l’Italie des commerçants et puis, comme un bug d’affichage, une bande-son métal et les passants qui dansent sur un morceau bien bourrin.

Aaah ! Florence ! Rome ! La Renaissance ! La fin des âges obscurs, la naissance d’un nouvel âge d’or, le raffinement, les madrigaux, les violes de gambe et puis Assassin’s Creed II et Brotherhood, bien sûr, ses ornements, ses grands hommes.

Et, tout à coup, un inconnu vous offre du poison, ou alors les personnages non joueurs se découvrent une passion pour la hardcore dance, autrefois appelée danse de Saint-Guy. Si on est effectivement assez éloigné du motet ou de la cantate, aussi décalé que cela puisse paraître, une fois les saignements de tympan endigués, la ressemblance avec des fans de métal hardcore s’ébrouant dans une fosse lors d’un concert est plutôt stupéfiante.

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Pierre Fontaine