La fin de l’année boursière est généralement propice à une moisson de prévisions, notamment parce que les gestionnaires de fonds de pensions et de portefeuilles ont…
La fin de l’année boursière est généralement propice à une moisson de prévisions, notamment parce que les gestionnaires de fonds de pensions et de portefeuilles ont à c?”ur de rassurer leur fidèle clientèle avant l’échéance fiscale. Il en résulte de nombreux arbitrages pour générer des moins-values fiscales ou pour doper les actifs. D’où la forte volatilité des marchés. Ainsi le Dow Jones n’est pas resté longtemps au-dessus de la barre symbolique des 10 000 points. Et ce malgré l’orientation de l’indicateur NAPM, l’association des directeurs d’achats d’outre-Atlantique, qui, contre toute attente, s’inscrit à la hausse. L’excès d’optimisme est-il au coin de la rue ?