Passer au contenu

DB2 désormais base de données privilégiée de SAP

Dans le cadre d’une alliance mondiale entre IBM et l’éditeur allemand, DB2, la base de données de Big Blue devient un SGBD de premier choix pour le numéro un des progiciels intégrés. Mieux encore, selon IBM, ” SAP le recommandera dorénavant par défaut. “

Dans le cadre d’une alliance mondiale entre IBM et l’éditeur allemand, DB2, la base de données de Big Blue devient un SGBD de premier choix pour le numéro un des progiciels intégrés. Mieux encore, selon IBM, “SAP le recommandera dorénavant par défaut.”

L’annonce, faite devant plus de 400 clients de SAP, est une véritable bénédiction pour IBM.



“Une faveur qui revenait jusqu’alors à Oracle “,indique-t-on chez IBM. Plus de 70 % des installations de R/3 tournent aujourd’hui sur le SGBD d’Oracle, par ailleurs premier rival de l’allemand sur le terrain des applicatifs fonctionnels.


Aux termes de l’accord, SAP annonce le basculement de ses systèmes de production d’Oracle vers DB2. Parallèlement, il désigne DB2 comme la base prioritaire sur laquelle s’accompliront les travaux d’évolution de ses produits.



“Bien-sûr, nos clients pourront toujours choisir leur SGBD “,tempère-t-on chez SAP, avant de rappeler les cinq bases exploitées par R/3 : Oracle, DB2, SQL Server, Informix et SAP DB (Adabas D).

Reste que “la base de données est maintenant au c?”ur des discussions technologiques d’avant-vente. Par exemple, lors de la mise en ?”uvre de l’offre décisionnelle SAP BW pour laquelle la masse d’informations à gérer devient considérable “,explique-t-on chez IBM.


SAP a vu dans DB2 un élément-clé, capable notamment de tourner sur un grand nombre de plates-formes, telles que Sun Solaris, NT, AIX, OS/400, OS/390 et, bientôt, Windows 2000 (HP et Compaq en attente de certification par SAP). IBM estime que, à la mi 2000, 25 % des déploiements de R/3 reposeront sur DB2, contre un peu plus de 10 % à l’heure actuelle.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


La rédaction