L’ info
L’université de médecine de Stanford a publié, samedi 16 mars, les résultats préliminaires d’une étude de santé sans précédent menée avec plus de 400.000 participants sur tout le territoire américain (50 États). Durant près de 8 mois, l’étude « Apple Heart Study » portait sur la détection de la fibrillation auriculaire (AFib) par l’Apple Watch. Les chercheurs américains reconnaissent la montre connectée d’Apple comme une source d’information riche et fiable. Ils appellent à continuer les recherches.
Ce que ça implique
Les résultats sont effectivement encourageants : les premiers éléments saillants de l’étude montrent que notamment seulement 0,5% des 400.000 participants ont été notifiés d’une anomalie de leur fréquence cardiaque.
« Les résultats de l’étude Apple Heart Study soulignent le rôle potentiel que la technologie numérique innovante peut jouer dans la création de soins de santé plus prédictifs et préventifs », s’est réjoui Lloyd Minor, le doyen de l’université de médecine de Stanford.
Le contexte
Commanditée en novembre 2017, l’étude a été financée par Apple. Et l’entreprise n’a pas tardé à se féliciter de ces résultats dans un communiqué officiel, écrit par Jeff Williams, le directeur des opérations d’Apple :
« Nous sommes fiers de travailler avec l’université de médecine de Stanford alors qu’ils dirigent cette recherche importante et tentent d’en savoir plus au sujet de l’impact de l’Apple Watch sur la communauté médicale. Nous espérons que les consommateurs continueront d’obtenir des informations utiles et pratiques concernant la santé de leur cœur, via l’Apple Watch ».
Source :
Stanford University
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