24-1440 mm : c’est la plage focale record du nouveau bridge de Nikon ! Stabilisée, cette optique est couplée à un capteur CMOS BSI de 16 Mpix, capteur qui perd deux mégapixels par rapport à la génération précédente. Nikon a sa doute voulu limiter la casse côté luminosité, ce qui est une bonne chose.
Pour voir la mer de la tranquillité
Que faire avec un tel zoom ? Photographier notre satellite ou les pigeons pardi ! Qu’à cela ne tienne, conscient de cette “demande”, Nikon a donc offert les modes “lune” et “oiseaux”, des modes qui règlent automatiquement l’appareil (vitesse, ISO, balance des blancs). Si on ajoute ces modes “tout assisté” à l’absence de mode RAW (le négatif numérique), on comprend rapidement que ce bridge est bien un appareil “débutant”, au contraire d’un Panasonic FZ200 par exemple (optique de haut vol, zoom modéré, mode RAW, etc.).
Côté cadrage, si le viseur de 201.000 points ne devrait servir à rien, l’écran orientable de 921000 points est cependant un vrai plus pour ce type d’appareil puisqu’il améliore la prise en main à bout de bras et facilite les cadrages depuis le sol.
Outre le Wi-Fi, qui permet de contrôler l’appareil via une application pour smartphone, le P600 propose aussi le GPS, ce qui est plutôt logique compte tenu de l’aspect “nature” de l’appareil.
Le CoolPix P600 sera disponible fin février à 429 euros.
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