- Comparatif : choisir un bon vidéoprojecteur HD à moins de 800 euros
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- Et les autres…
- Résultats du comparatif du 01Lab
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La chute des prix des téléviseurs plats vous laisse indifférent ? Vous préférez le vrai, le grand cinéma ? Optez donc pour un vidéoprojecteur, vous n’aurez plus à sortir de chez vous pour apprécier un film sur très grand écran ! Notre comparat if se consacre à sept modèles haute définition (720 p) relativement abordables, mais qui peuvent vous en mettre plein la vue. Tous sont équipés d’une entrée vidéo HDMI et d’une ou même deux entrées vidéo VGA. Tous ainsi sont parés pour recevoir un lecteur Blu-ray, un caméscope, un ordinateur ou encore une console de jeu.
Bonne surprise, un vidéoprojecteur ne s’apparente plus forcément à une grosse boîte bruyante. Le simple haut-parleur intégré (sauf le modèle Sony qui en est dépourvu) couvre le bruit du ventilateur. Signalons que notre critère de prix (moins de 800 euros prix public) aura suffi à écarter les projecteurs Full HD. Vendus à partir de 1 000 euros pour des produits d’entrée de gamme, il faut rapidement doubler, voire tripler, le budget pour disposer d’une solution Full HD sérieuse. Mieux vaut un bon appareil 720p qu’un mauvais Full HD, d’autant que les modèles testés nous ont réservé de bonnes, et même de très bonnes surprises.
DLP et tri-LCD, le duel
Deux technologies s’opposent dans notre comparatif, le DLP (Digital Light Processing) et le tri-LCD (Liquid Crystal Display).
Le DLP utilise une roue chromatique, ou roue codeuse, qui divise en trois segments colorés (rouge, vert et bleu) le faisceau lumineux de la lampe. Les trois couleurs primaires sont renvoyées par des miroirs vers l’objectif. Atout de cette technologie, majoritaire dans notre sélection : elle offre une meilleure profondeur des noirs et n’accuse aucune rémanence.
La technologie LCD, de son côté, décompose la lumière en RVB (rouge, vert, bleu) par un prisme, et qui est ensuite projetée vers trois panneaux LCD. Les couleurs couleurs convergent ensuite vers un second ensu vers un second prisme avant d’atteindre l’objectif. d’atteindre Cette technologie a l’avantage technolo l’avantage d’afficher une plus grande image, une plus grande à recul équivalent, qu’un projecteur DLP. Elle est aussi moins gourmande en énergie.
Les vidéoprojecteurs testés ici ne donnent le meilleur d’eux-mêmes que dans une pièce sombre, le confort de visionnage se dégrade très vite dès qu’il y a trop de lumière. Pas de vrai ciné à la maison non plus sans un bon support de projection. Si vous ne disposez pas d’un mur blanc sur lequel projeter l’image, il est possible d’investir dans un écran de projection. Permettant de tirer parti de la qualité d’image du projecteur, ils ont un prix conséquent. Comptez environ 200 euros pour un écran de deux mètres de largeur sur 1,6 mètre de hauteur. Et à ce prix, il ne faut pas s’attendre à du luxe. Il faudra dérouler manuellement l’écran fixé au préalable au mur ou au plafond. En revanche, tout est prévu dans les menus des projecteurs pour corriger les déformations de l’image, si l’appareil n’est pas pile en face du support de projection, ou inverser l’image dans le cadre d’une installation au plafond. Tous d’ailleurs sont dotés de pas de vis pour une fixation au plafond.
Des lampes onéreuses
De beaux produits qui ont bien des avantages, mais aussi des limites. Nous déconseillons d’utiliser un projecteur pour regarder le JT, compte tenu de la durée de vie des lampes. Annoncées en moyenne à 3 000 heures en mode normal et 4000 heures en mode économique, elles coûtent cher : certaines sont vendues près de 400 euros ! A consommer avec modération.
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