Le constructeur destine son nouveau commutateur non administrable aux PME et à la fédération des postes de travail. “Le SuperStack 3 Baseline 10/100/1000 répond à la nécessité d’augmenter la puissance globale d’un segment de réseau, mais sans devoir changer les interfaces réseaux de tous les équipements connectés”, justifie Agnès Chabrier, directrice du marketing de 3Com France. Selon elle, 3Com est à ce jour le seul constructeur à proposer un commutateur non administrable Gigabit Ethernet sur cuivre.
Sous l’aspect d’un boîtier redessiné, plus arrondi et d’un blanc plus bleuté, le SuperStack 3 Baseline 10/100/1000 offre six ports RJ-45 blindés. Capable de mémoriser jusqu’à 8 000 adresses physiques (MAC), il est doté d’un fond de panier de 12 Gbit/s, soit plus que la capacité théorique de ses interfaces en mode bidirectionnel synchrone (full duplex).
Négocier la vitesse selon la qualité du câblage
3Com indique avoir particulièrement soigné ses fonctions de détection automatique. Le SuperStack 3 Baseline gère ainsi la négociation de la vitesse (10, 100 ou 1000 Mbit/s), mais aussi du mode de transmission, qui peut être soit de type bidirectionnel asynchrone (half duplex), soit synchrone (full duplex). “Nous avons aussi pris en compte les différences de potentiel du câblage par lequel le commutateur sera relié aux postes de travail ou aux serveurs, poursuit Agnès Chabrier. En cours de négociation, le SuperStack 3 Baseline analyse automatiquement le signal reçu pour déterminer si sa qualité est suffisante pour assurer le débit théorique possible. Si le lien en question est terminé en ses deux extrémités par des équipements à négociation automatique 10/100/1000, le SuperStack 3 Baseline sait baisser de lui-même le débit, comme le fait un modem lorsque la qualité de la ligne téléphonique est insuffisante.”
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