- Sept PC portables avec écran de 12 pouces
- Le résumé des tests
- Les deux choix de ‘ Micro Hebdo ‘
- Les autres produits…
- Comment nous les avons testés
Temps de réponse de l’écran
Les portables sont de plus en plus utilisés pour regarder des films ou pour jouer. Le temps de réponse de l’écran est alors crucial pour assurer un bon affichage. Le laboratoire a testé ce temps de réponse avec une sonde
électronique rapide couplée à un oscilloscope qui calcule exactement le temps mis par les pixels pour passer du noir au blanc, puis du blanc au noir. La somme de ces deux temps donne le temps de réponse total.
Echauffement
Pour mesurer la température maximale atteinte par ces ordinateurs, souvent posés sur les genoux, le laboratoire a poussé les composants en fonctionnement intensif en utilisant des programmes qui sollicitent d’une part le(s)
c?”ur(s) du processeur, d’autre part la puce graphique. Une fois la température stabilisée, elle a été relevée grâce à une caméra thermique Fluke qui donne un relevé des températures de toute la surface du portable.
Autonomie sur batterie
C’est le critère fondamental pour un usage nomade de l’appareil. Pour mesurer leur autonomie minimale, une vidéo lue à partir du lecteur de DVD est jouée en continu. Un petit logiciel surveille l’état du système et enregistre
l’autonomie à la minute près.
Rapidité avec Vista
Les tests de rapidité mettent l’accent sur le multitâche et les applications ‘ multithreadées ‘ (celles qui sont capables d’utiliser plusieurs c?”urs en même temps pour aller plus
vite). Le laboratoire utilise Photoshop CS2 d’Adobe pour la retouche d’images, Premiere Elements pour la génération d’un DVD multimédia, Lame pour l’encodage MP3, WinRar pour la compression de fichiers, et enfin Maltlab 7 pour les calculs
intensifs.
Mesure du bruit
Les portables savent-ils rester discrets quand ils sont en pleine activité et que des problèmes d’évacuation de chaleur incitent le petit ventilateur interne à fonctionner à plein régime ? Chaque portable a été placé dans
une chambre sourde devant un microphone spécialisé, connecté à un oscilloscope. Celui-ci a enregistré le bruit maximal en fonctionnement et l’a comparé à la courbe de sensibilité de l’oreille humaine afin dattribuer une note de pénibilité.
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