- Dix clés USB de 16 Go
- Comment nous les avons testées
- Le vainqueur : on aime, on n’aime pas…
- Les autres modèles : on aime, on n’aime pas…
- Le résultat des tests
Les tests sont effectués sous Windows Vista SP2. L’antivirus a été désactivé afin de ne pas fausser les résultats.
Capacité de stockage réelle
Les clés USB ont une contenance annoncée de 16 gigaoctets. Mais il s’agit là de la capacité brute des cartes non formatées. De plus, le formatage (l’opération qui consiste à structurer l’espace de stockage pour le préparer à l’écriture de données) consomme lui-même de l’espace (quelques kilo-octets). Nous avons donc vérifié la capacité formatée des clés à l’aide du logiciel de tests Sandra de SiSoftware.
La capacité peut également être vue dans l’Explorateur de Windows, en affichant les propriétés de la clé. Nous avons conservé le formatage d’origine des constructeurs, en général le système de fichiers Fat32.
Débit brut
Pour fabriquer les clés USB, les constructeurs font appel à des technologies différentes, dont dépend en partie le débit de données en lecture et en écriture. Nous avons effectué une mesure brute de ce débit, avec le logiciel de tests Sandra.
Ce logiciel simule la lecture et l’écriture de fichiers de plusieurs tailles différentes. Nous avons choisi les mesures correspondant à des tailles de 32 Ko et 256 Mo car elles sont représentatives du débit le plus fort et du débit le plus faible de la clé lors du transfert des données.
Débit réel lors de la copie de fichiers
Les débits indiqués par Sandra donnent une idée des performances brutes de la carte, mais restent des valeurs théoriques. Pour connaître les débits réels, en fonction du type de fichiers copiés avec l’Explorateur de Windows, nous avons chronométré l’écriture et la lecture de plusieurs séries de fichiers : quatre gros fichiers DivX (2,9 Go en tout), 72 fichiers MP3 de 4 à 6 Mo (total 419 Mo), une collection de 400 photos (total 423 Mo) et une série de 1 614 petits fichiers bureautiques de 1 à 27 Ko (total 5,2 Mo).
Les opérations de lecture et d’écriture avec l’Explorateur de Windows ont été automatisées grâce au langage de script AutoIt. Enfin, nous avons privilégié dans le calcul des notes les tests d’écriture, car ils sont plus discriminants.
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