Vous prétendez être le seul opérateur alternatif en France à pouvoir prendre en charge la totalité de la téléphonie entrante et sortante des entreprises. Est-ce une performance ?Après la téléphonie longue nationale et internationale, les appels vers les mobiles, les numéros libre appel, la portabilité des numéros, nous pouvons également prendre en charge désormais tous les appels vers les numéros d’urgence et les numéros spéciaux de type Minitel et Audiotel.Et qu’en est-il de vos autres services de téléphonie ?Ils sont toujours plus riches et toujours plus compétitifs. Fin 2000, nous avons supprimé le surcoût de 10 à 15 %, que devaient payer nos clients off-net pour leurs communications longue distance par rapport à nos clients on-net, c’est-à-dire directement raccordés à l’une de nos trois boucles optiques urbaines de Paris, Lyon et Marseille. Sans pour autant vendre à perte, nous avons donc désormais une tarification unique, indépendante du mode de raccordement, que le marché attendait. De plus, depuis fin 2000, notre couverture off-net est nationale, avec un délai de mise en ?”uvre de 2 semaines partout en France.Et comment évoluent les consommations ?Sur 12 mois glissants, notre trafic téléphonique progresse de 8 à 10 % en volume. Nos clients consomment de plus en plus de services. 90 % de nos clients en téléphonie utilisent ainsi l’un de nos services de données ; 30 % ont également pris chez nous leur accès Internet. Les grandes entreprises on-net adoptent aussi nos services de bande passante. Seul l’hébergement de sites Web est encore balbutiant.
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