Positionné sur le marché de la gestion des réseaux d’affiliés, Cibleclick modifie son modèle économique et se tourne vers le performance marketing. Face aux disparitions de 24pm, BeFree et Key2Link, et au rachat de l’éditeur iMédiation, qui témoignent d’un secteur plus que sinistré, Cible-click doit réagir pour rester l’un des derniers acteurs significatifs de l’affiliation en France.L’offre commerciale évolue donc, s’appuyant toutefois sur le même réseau mutualisé d’affiliés de 25 000 sites. Mais plus question, pour Cibleclick, d’évangéliser les grands comptes français sur l’intérêt des réseaux d’affiliés. Il propose des solutions clés en main. Banques en ligne et sites marchands “achèteront” désormais des clients à Cibleclick et le rétribueront sur ce critère uniquement. Une banque en ligne ou un assureur sera en mesure de choisir son mode de facturation pour les nouveaux clients amenés par le prestataire : selon le nombre de formulaires d’inscription complétés, à louverture du compte ou lors du versement du premier dépôt par le client. Les tarifs mensuels varient de 1 000 à 4 000 ?, plus un coût variable par nouveau client.Ce repositionnement et la disparition des concurrents semblent réussir à Cibleclick, puisque le prestataire assure avoir franchir le seuil de rentabilité en 2002.
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