Après la rectitude – néanmoins synonyme de lenteur – de l’ère PGI, après les premières expériences ” brouillonnes ” du e-business, le balancier revient dans le camp de la DSI. Et là, il lui faut du ” vite et bien fait “. Une gageure ? Pas tout à fait ! Au-delà des compétences techniques, cela devient surtout une affaire de savoir-faire manageurial : apprendre à gérer une indispensable multidisciplinarité. Aux USA, le vieux schéma ” maîtrise d’ouvrage/maîtrise d’?”uvre ” constitue une impasse. D’où la filialisation, ou l’externalisation, de ce qui est ressources et prestations (infrastructure, développement…) et la mise en commun des équipes chargées du pilotage de l’informatique avec celles de ” l’information department ” (l’ancienne maîtrise d’ouvrage). La collaboration de ces personnes maîtrisant technologie, marketing et métier fait apparaître la DSI comme force de proposition et prestataire de haut niveau.
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