Faites vos comptes : “L’envoi d’une facture ?” qui nécessite logiciel, façonnage et affranchissement ?” coûte 1,5 euro par voie postale, alors que nous proposons ce même service pour 0,5 euro maximum”, compare Christian Vandoren, directeur de la Banque du Document. Créée fin 2000, cette société vient de se lancer dans la dématérialisation des documents, acheminés via internet et stockés sur ses serveurs “mesdocuments.com“?” pour les particuliers ?” et “jarchive.com“?” pour les PME et TPE.
Créer des partenariats avec les émetteurs
La Banque du Document propose à ses clients une centralisation gratuite de toutes les factures, des relevés de compte, voire des contrats, des reçus et un outil de règlement en ligne. L’idée est attrayante pour l’utilisateur, encore faut-il qu’il la connaisse. Pour cela, la Banque du Document mise sur les partenariats qu’elle espère nouer avec les émetteurs. Banques, assurances, opérateurs télécoms ou fournisseurs d’énergie sont invités à dématérialiser leurs envois sur le site. “Pour que tout le monde s’y mette, il faut créer une dynamique de réseau”, admet Christian Vandoren. Ses atouts ? “Une technologie de stockage sûre, un cryptage à 128 bits, un prix attractif, et une valeur ajoutée pour le portail du partenaire.”Toutefois, son handicap, “partir de rien”, est lourd. D’autant que son ?” possible ?” concurrent pourrait être La Poste, “opérateur du courrier sous toutes ses formes”, qui possède un fichier de 1,15 million d’internautes sur Laposte.net et connaît les grands facturiers à qui elle propose déjà Post@xes, un service de dématérialisation interentreprises.
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.