IntelliPrint 8008N, de TallyGenicom
On aime… l’interface réseau en standard
La TallyGenicom est la seule machine de notre comparatif à intégrer en standard une interface réseau Ethernet 10/100. Cela permet de la brancher directement à un routeur afin de la partager entre plusieurs PC, sans avoir
besoin d’en laisser un allumé. Tous les autres modèles d’imprimantes devront se voir ajouter un boîtier réseau vendu en option ou être branchés à un PC sous tension, lui-même connecté à un routeurOn aime… l’écran de contrôle lisible
Avec un afficheur LCD sur deux lignes, on sait précisément ce qui se passe sur l’imprimante. Les indications sont claires et permettent d’intervenir efficacement lors d’un bourrage de papier ou si le toner est déclinant. A
l’inverse, certains modèles comme la Magicolor 2400W de Konica Minolta ou la C3200 d’OKI ne proposent que quelques diodes lumineuses sur leur panneau de contrôle
On aime… la rapidité en noir et blanc
Une fois lancée, cette imprimante est capable de sortir 22 copies à la minute en noir et blanc. C’est trois plus que la Laser Shot LBP-5000 de Canon ou que la Color Laserjet 1600 de HP, et deux fois plus que la C3200
d’OKI. Seule l’Aculaser C1100N d’Epson réussit à faire jeu quasi égal, avec 20 pages par minute une fois lancée.
En revanche, avec la TallyGenicom, il faut être un peu patient avant de voir sortir la première feuille : 1 minute 17 secondes séparent la sortie de veille de l’impression de la première page.On n’aime pas… le coût du plein de toner
Avec un toner pour les impressions noir et blanc et trois cartouches pour les couleurs, le changement des encres reviendra, au total, plus cher que le prix de l’imprimante elle-même. En effet, la facture s’élèvera à
685,30 euros pour l’ensemble, soit le double du coût de la Laser Shot LBP-5000 !
Mais c’est surtout le prix de la cartouche d’encre noire qui grève la facture, puisqu’elle est vendue 168,64 euros par TallyGenicom. Petite consolation tout de même : les cartouches de remplacement sont beaucoup plus
autonomes que les kits de démarrage livrés à l’achat.
Magicolor 2400W, de Konica Minolta
On aime… la compacité
Cette imprimante n’occupera pas énormément de place sur votre bureau. Malgré un bac à papier un peu proéminent sortant du châssis ?” elle gagne 15 centimètres d’embonpoint ?”, l’encombrement au sol reste
réduit et permet une installation facile sur un coin de table.On aime… le coût à la page réduit
Sobre comme un chameau, cette Konica ! Très économe en encre, elle obtient l’un des coûts à la page les plus faibles de notre sélection. Que ce soit en couleurs ou en noir et blanc, imprimer en quantité avec ce modèle ne vous
reviendra pas très cher. D’après nos calculs, le coût à la page en noir et blanc est estimé à 0,011 euro et à 0,071 euro pour une page en couleurs.La raison de ce faible coût à la page est simple : l’imprimante ne consomme que très peu d’encre pour chaque impression, d’où une autonomie record (environ 8 500 copies en noir et blanc tout comme en couleurs)
pour le kit de démarrage livré, pourtant théoriquement limité à 1 500 copies.On n’aime pas… le bac à papier ouvert
Plutôt que de proposer un tiroir fermé dans lequel les feuilles vierges seraient à l’abri, Konica Minolta a opté pour un bac à moitié sorti du châssis de l’imprimante. Résultat : si les feuilles prennent la poussière, cela
peut engendrer des salissures à l’impression. Pour limiter le risque, la solution est de placer l’imprimante dans un coin protégé de votre espace de travail, sur une étagère par exemple.
Aculaser C1100, d’Epson
On aime… la rapidité d’impression
Quel que soit le type de document à imprimer, l’Epson Aculaser C1100 se révèle un vrai foudre de guerre. Vingt pages par minute en noir et blanc, un peu moins de cinq pages par minute en couleurs, et un tout petit peu plus de
25 secondes pour imprimer une photo. C’est rapide dans tous les cas. Même la sortie de veille est performante, avec seulement 31 secondes entre la commande d’impression et la sortie de la première pageOn n’aime pas… le recyclage des cartouches réservé aux entreprises
Epson n’a rien prévu pour le recyclage des cartouches d’encre achetées par les particuliers. Seules les entreprises sont concernées par le programme d’échange de consommables usagés mis en place par le constructeur nippon. Nous
autres, pauvres particuliers, devrons trouver nous-mêmes un organisme ou un magasin où rapporter les cartouches vides à recycler.
A l’inverse, toutes les autres imprimantes de notre comparatif bénéficient de programmes spéciaux pour gérer la reprise et le reconditionnement des cartouches usagées
Laser Shot LBP-5000, de Canon
On aime… les cartouches de toner standards livrées
C’est le seul modèle de notre comparatif à être livré avec des cartouches de toner standards, et non un kit de démarrage. Vous pourrez donc imprimer dès la sortie du carton environ 2 700 copies en noir et blanc et autant en
couleurs.On aime… la facilité de changement de toner
Facilement accessibles, les cartouches de toner de cette imprimante ! Il suffit d’ouvrir le capot pour avoir accès directement aux quatre cartouches d’encre. Pas besoin de se plier en quatre ou d’avoir la dextérité d’un
Houdini pour y accéder.
C3200, d’OKI
On aime… le bac supplémentaire de 100 feuilles
Pratique ce bac additionnel ! Il permet d’augmenter un peu la capacité du bac d’origine, mais aussi et surtout de mélanger différents formats de papier. C’est par exemple très pratique pour créer une plaquette avec un papier
plus épais pour la couverture. Ce bac permet aussi d’alimenter l’imprimante avec des papiers spéciauxOn n’aime pas… les cartouches difficiles à remplacer
Mal documentée dans la notice, la procédure pour changer les différentes cartouches de toner est complexe et… risquée pour vos vêtements. En effet, les cartouches ont tendance à entraîner le tambour lorsqu’on veut les
changer. Lors des essais de notre laboratoire, chaque tentative de changement de toner s’est soldée par ce phénomène, et par l’éparpillement tout autour de l’imprimante d’une grande quantité de la poudre du toner qui stagnait dans le
tambour.
Color Laserjet 1600, de HP
On n’aime pas… le coût d’impression à la page élevé
Si le prix de cette imprimante est très raisonnable (300 euros environ), elle se révèle à l’usage la plus coûteuse des six modèles testés dans notre sélection. Une page en couleurs revient à environ 16 centimes, et à un peu
moins de 3 centimes en noir et blanc.
Au final, imprimer avec cette Color Laserjet 1600 est deux à trois fois plus onéreux qu’avec ses concurrentes, à l’exception de la C3200 d’OKI, dont les coûts à la page sont du même ordre.On n’aime pas… le kit de démarrage limité à 1 000 copies
Si vous jetez votre dévolu sur ce modèle, prévoyez dès son achat de faire une petite réserve de consommables. En effet, HP ne livre qu’un kit de démarrage de 1 000 copies en noir et blanc et autant en couleurs. C’est peu,
d’autant que les cartouches d’encre standards ne sont pas données, le coût du changement complet s’élevant à plus de 400 euros. Soit plus cher que le prix de l’imprimante elle-même, ce qui est aussi le cas des autres modèles à lexception
notable de la Magicolor 2400W de Minolta.
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