Nikon avait surpris tout le monde en 2010 avec son CoolPix S3000, un compact à la fiche technique modeste mais au design étudié pour plaire et à la tarification plus qu’agressive. Bilan : ce fut une des meilleures ventes du marché français. Et ce malgré la faible définition de l’écran, l’absence de stabilisation optique et de vidéo HD. Qu’on se le dise, dans l’entrée de gamme prix et design sont les arguments phares.
14 mégapixels à 139 euros
Il est donc logique que Nikon rejoue la même carte en 2011 avec le CoolPix S3100. Un appareil qui passe de 12 à 14 Mpix, s’équipe d’un zoom grand-angle x5 (26-130 mm), de la vidéo HD 720p et d’un simple écran 230 000 points faisant 6,7 cm de diagonale. On vous l’a dit, rien d’exceptionnel si ce n’est le design, élégant et coloré (sept robes disponibles) et le tout pour pas cher : 139 euros.
Un boîtier star et des variantes
Pour 20 euros de plus (159 euros), on passe au S4100 qui offre exactement la même base technique et intègre un écran tactile de 7,6 cm de diagonale affichant 460 000 points. En ajoutant encore 40 euros – on arrive à 199 euros – on passe au S6100, une exclusivité Fnac dans l’Hexagone, qui reprend tout du S4100 (et donc beaucoup du S3100…) mais pousse le zoom à x7 pour une plage optique de 28-196 mm.
Pour les plus fauchés, Nikon lance aussi le S2500, compact ultrabasique doté d’un capteur 12,1 Mpix et d’un petit zoom grand-angle x4 (27-108 mm). Pas d’écran tactile, pas de vidéo HD, le strict minimum vital : vidéo standard, écran de 6,7 cm et 230 000 points et optique non stabilisée. Le tout pour 109 euros.
Ces boîtiers sont d’ores et déjà disponibles auprès de tous les revendeurs.
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