Mais que peut signifier l’expression ‘ CD autogravable ‘ ? Est-ce le concept de l’année ou une fausse bonne idée ? D’après nos tests, nous pencherions plutôt pour la seconde
solution.A la base, l’idée d’inclure sur un CD vierge un logiciel de gravure ?” qui se lance quand on insère le CD dans le graveur ?” est aussi innovante qu’intéressante. En effet, tout le monde ne possède pas Nero ou
Easy Media 8 pour graver ses compilations musicales, ses sauvegardes ou ses diaporamas. A l’usage, il n’y a pas de quoi sauter au plafond : on s’aperçoit vite qu’il est impossible de créer un VCD, un SVCD ou, plus
simple, un CD-Audio. Du coup, le concept, bien qu’original, perd beaucoup de son intérêt.En regardant de plus près, on découvre qu’on ne dispose que de 678 Mo pour graver ses données sur le disque, alors que la pochette revendique 700 Mo. C’est logique, puisqu’une petite partie du CD vierge contient le logiciel
de gravure, mais un peu mensonger. Ne comptez pas non plus faire de l’overburning, cela ne fonctionne pas. Quant au logiciel de gravure, il propose des assistants bien faits, mais un peu limités. Et il est très étrange que ses options
soient différentes d’un CD à un autre. Problème de fabrication ? Au final, donc, ce CD ‘ révolutionnaire ‘ signé TX-WEA (ex-Traxdata) se révèle d’un intérêt limité.
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