Toujours plus gourmands en puissance, les jeux en 3D obligent à faire régulièrement l’acquisition de cartes graphiques plus véloces. Il y a trois ans, la plupart…
Toujours plus gourmands en puissance, les jeux en 3D obligent à faire régulièrement l’acquisition de cartes graphiques plus véloces. Il y a trois ans, la plupart des cartes se branchaient sur un connecteur PCI d’un micro pour assurer un affichage en trois dimensions. Aujourd’hui, seuls quelques modèles de la génération précédente (comme les Voodoo2) utilisent encore un connecteur PCI. Les cartes actuelles sont à la fois 2D et 3D. Elles se branchent sur le connecteur AGP de la carte mère des PC de moins de trois ans. Mais attention, tous les micros ne permettent pas de changer de carte graphique. Il arrive que celle-ci soit intégrée à la carte mère du PC, n’offrant alors aucune perspective d’évolutivité. S’il existe beaucoup de cartes graphiques, nombre d’entre elles utilisent les mêmes processeurs graphiques 3Dfx, ATI, Matrox, nVidia, S3 et Trident. Outre les performances réelles du processeur graphique, les différences de prix viennent également de la quantité et du type de mémoire vidéo embarquée. Ainsi, on distingue la SDRam et la DDR. Cette toute dernière génération de mémoire vidéo apporte un gain de performance de 35 %. Certains constructeurs intègrent des éléments supplémentaires, qui peuvent faire flamber les prix : la présence d’une prise de sortie TV destinée à afficher les images sur un téléviseur, des jeux, etc.