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a version 3 de Roma, notre framework de services pour middleware asynchrone, devrait générer 20% de notre chiffre d’affaires produits en 2000″, confie Jean-Christophe Laplace, directeur services Message Queing chez Candle France. L’estimation est d’autant plus remarquable qu’en 1999, les ventes de Roma ont représenté une part marginale des 382 millions de dollars (2,6 MdF) de chiffre d’affaires global de l’éditeur. De fait, celui-ci, né en 1976, officie avant tout sur le terrain de la gestion de performances des grands systèmes IBM avec son offre ancestrale Omegamon. Un domaine qui, l’an dernier, aura encore généré 65% de ses ventes de produits.
Si Roma suscite un tel optimisme, c’est que Candle considère sa solution mûre et parfaitement adaptée aux marchés explosifs de l’intégration d’applications d’entreprise (EAI) et du commerce interentreprises. Ainsi, Roma 3 se traduit par le lancement d’une nouvelle famille d’outils, CandleNet. Laquelle tire pleinement parti de la compétence en ingénierie de middleware asynchrone (MOM), MQSeries d’IBM – dont, au printemps 1999, Candle revendiquait plus de quatre cents installations -, mais aussi de MSMQ de Microsoft. Fort des actuelles fonctions de Roma (journalisation des messages, gestion des erreurs, interfaçage aux courtiers de message MQ Integrator et Mercator, etc. ), CandleNet étend le jeu d’API de Roma aux langages Java, C++ et XML. “Grâce à CandleNet, nous sommes en mesure d’invoquer une transaction CICS à partir d’un flux XML, et de renvoyer une réponse en XML”, explique Jean-Christophe Laplace. Il sera même possible de contrôler les performances d’une chaîne d’intégration pilotée par CandleNet. En effet, le composant CandleNet eBusiness Assurance Network dispose de eBA, l’outil de mesure des temps de réponse des applications Web. De quoi retenir l’attention des spécialistes de l’hébergement d’applications (ASP) et des fournisseurs d’accès Internet qui sont dans l’obligation de garantir un service irréprochable
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