” Avec Volution Messaging Server (VMS), nous proposons aux PME un serveur de messagerie plus simple que Sendmail et moins cher qu’Exchange “, résume François Mauny, directeur France de Caldera.VMS s’appuie sur l’agent de messagerie Open Source Postfix, ” plus facile à configurer que Sendmail “, justifie Philippe Chiesa, consultant avant-vente pour Caldera. Livré avec l’annuaire OpenLDAP, VMS est compatible avec les protocoles courants (SMTP,MIME, POP3, IMAP4 et OpenSSL pour la sécurité) et fonctionne avec la plupart des clients de messagerie, dont Outlook.L’administration de VMS s’effectue depuis une interface Web. ” C’est sur la simplicité d’administration que se situe notre valeur ajoutée. L’utilisateur a accès à certaines fonctions du serveur de messagerie, pour changer son mot de passe, par exemple “, explique Philippe Chialsa.
Une licence propriétaire, et pas de version Linux générique
Si VMS embarque des composants issus de l’Open Source, il fonctionne uniquement avec les systèmes d’exploitation de Caldera (OpenLinux et OpenUNIX). “Des développements pour d’autres versions de Linux sont en cours “, nuance François Mauny.Ce serveur de messagerie est vendu sous forme de licence Cola (Certificate Of License and Authenticity), autrement dit, sous licence propriétaire, les entreprises payant en fonction du nombre d’utilisateurs (6 880 francs ht pour 25 utilisateurs). Elles peuvent modifier le code source, même si, à l’évidence,“ce n’est pas le souci des PME auxquelles s’adresse VMS “, estime François Mauny.Comme tous les produits de Caldera, VMS est commercialisé par le biais du réseau de distributeurs de l’éditeur : “Nous sommes conscients que notre taille est insuffisante pour être une société de services. Notre réseau de distribution permet de mettre à la disposition des entreprises des gens compétents “, explique François Mauny.
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