Journaliste est parfois un métier à risques. En se penchant sur le dossier des virus, nos rédacteurs en sont ressortis complètement paranos ! Les virus, en général, c’est comme les pannes : tant qu’on n’en
a pas eu, on fait comme si ça n’arrivait qu’aux autres.Or, d’après les spécialistes, 1,2 % des courriels circulant sur Internet contiennent un virus. Un pourcentage critique : trop faible pour que tout le monde ait été touché, mais suffisamment important pour que chacun
risque de l’être.Mon ordinateur personnel, par exemple, n’a jamais vu un virus. Du moins je le pense. Car en installant chez lui un nouvel antivirus, mon collègue a découvert un intrus que le précédent n’avait pas détecté… Pas
grave, puisqu’il n’avait pas fait de dégât.Si j’en croyais cette seule expérience, j’aurais donc toutes les raisons de penser que les journalistes exagèrent. Sauf qu’au journal, justement, malgré un antivirus régulièrement mis à jour, on les a presque tous
reçus : iloveyou, Bugbear, j’en passe et des pires.J’ai aussi rencontré une lectrice dont le micro était paralysé, et seule une manipulation dans le registre de Windows a permis de le refaire fonctionner normalement. Ce jour-là, voyez-vous, j’ai vérifié que mon antivirus
fonctionnait…* Directeur de la rédaction de Micro Hebdo
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