Plus connu du grand public pour ses logiciels de communication que des entreprises, la société est un des rares éditeurs français à avoir réussi hors de l’Hexagone, et notamment aux USA, où il réalise 45 % de son CA. Pour
son 20e anniversaire, BVRP a annoncé les résultats financiers les meilleurs de son histoire.Le CA 2004 s’établit à 57 millions d’euros, en hausse de 17,5 % par rapport à 2003. Le résultat net grimpe de plus de 200 %, à 5,3 millions d’euros. Si l’activité services régresse, les logiciels,
représentant 82 % du CA, tirent la croissance : ‘ Nos logiciels ne se prêtent pas à de longs contrats de maintenance. Notre activité services se limite à quelques centres d’appels en Grande-Bretagne et aux
États-Unis ‘, explique Thierry Bonnefoi, directeur financier de BVRP.En particulier, les ventes de logiciels en OEM progressent de 60 % et représentent plus du quart des revenus de l’activité logicielle. Une ombre au tableau, les ventes sur Internet ont décliné et ne participent qu’à
hauteur de 4 % des revenus.BVRP compte doubler cette proportion dès 2005, avec la création d’une division spécifique. 2005 sera aussi l’année de l’Asie pour BVRP, qui compte renforcer l’effectif de son centre de R&D à Shanghai.
L’éditeur espère également augmenter ses revenus de 20 à 30 %.
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